Robert FAURISSON
8 mai 2018
Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », est, depuis hier, incarcérée à la suite de sa condamnation à deux ans de prison ferme. Dans six mois, le 11 novembre 2018, elle aura 90 ans. Elle est arrière-grand-mère.
Elle était sous surveillance médicale. Son avocat avait sollicité un report de sa date d’incarcération. Mais de bonnes et belles personnes, notamment à l’étranger, avaient protesté et exigé une incarcération sans plus de délai.
Il faut dire que la coupable avait commis un crime affreux contre la plus vraie et la plus vivace des religions du monde, la Religion de l’Holocauste.
La « Nazi-Oma » (La Grand-mère Nazie) avait proclamé qu’elle ne croyait pas à l’existence, durant la Seconde Guerre mondiale, des « chambres à gaz nazies ». Elie Wiesel non plus n’y croyait pas ; généralement tenu pour le témoin emblématique de « l’Holocauste » (ou « Shoah »), il ira même, dans ses mémoires, jusqu’à demander qu’on n’en parle plus ; cependant, au moins nous avait-il assuré auparavant dans La Nuit qu’à Auschwitz, si les Allemands tuaient systématiquement les juifs, c’était par le feu dans des fosses ardentes auxquelles, par miracle, il avait personnellement échappé à la dernière minute. D’autres respectables témoins ont attesté de ce que la même extermination se faisait soit par l’électricité, soit par la vapeur d’eau, soit par le gaz cyanhydrique, soit par la chaux vive, soit par le gaz d’échappement de moteurs de camions ou d’un tank et même une fois, à Auschwitz, par le biais d’un essai de bombe nucléaire. Quant au Père Patrick Desbois, dont on ne parle malheureusement plus guère, il croyait soit à « la Shoah par balles » de fusil, soit à « la Shoah par étouffement » « avec des édredons » ou « avec des coussins la nuit » (Porteur de mémoires,Editions Michel Lafon, 2007, p. 306-307).
Ursula Haverbeck fait actuellement partie de tout un ensemble international de femmes qui s’insurgent contre le Nouvel Evangile. Depuis au moins 73 ans – aujourd’hui 8 mai 2018 –, la bonne parole holocaustique nous est enseignée.
Dans ces dernières années, elle carillonne à toute volée le matin, à midi, l’après-midi, le soir et la nuit. Mais ces femmes, avec une insistance diabolique, donnent l’exemple d’une résistance opiniâtre et perverse. Elles se nomment Michèle Renouf, Sylvia Stolz, Maria Poumier, Monika Schaefer, Alison Chabloz, Diane King, Carolyn Yeager ou encore « Didi ». Elles s’appelaient Madame Rassinier, Keltie Zubko ou Barbara Kulaszka. D’autres noms de femmes seraient encore à citer.
Bref, voici deux sources – l’une odorante et l’autre nauséabonde – où se trouve évoquée l’incarcération d’Ursula Haverbeck :
1) La police allemande interpelle une "mamie nazie" en fuite (site d’Europe 1, 7 mai 2018) ;
2) BOCAGE-INFO Sur le front de la répression (BOCAGE-INFO Dépêche No 6)
Ursula Haverbeck a été arrêtée et placée en détention le 7 mai 2018 à 13h30. Ursula Haverbeck espérait fêter son 90e anniversaire au mois de novembre en compagnie de sa famille et de ses amis, mais les sicaires de la police de la pensée en ont décidé autrement.
L'arrière-grand-mère allemande a gagné le respect de ses compatriotes et l'estime des chercheurs indépendants du monde entier pour ses enquêtes opiniatres sur la fraude liée à l'Holocauste. Le régime allemand, qui est fortement impliqué dans l'escroquerie, a condamné la courageuse investigatrice à deux ans de prison ferme pour avoir enquêté sur les procès-verbaux des Alliés sur les conditions dans les camps d'internement pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ursula Haverbeck est surnommée la « grand-mère nazie » par les médias du Système. William Colby, ancien directeur de la CIA, et le Dr Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef de Frankfurter Allgemeine, étaient impliqués dans ces recherches. Les deux hommes sont morts dans des circonstances mystérieuses.
Condamnée une nouvelle fois l'année dernière, Frau Haverbeck avait eu le temps de se préparer car elle ne s'était pas présentée à la prison de Bielefeld mercredi 2 mai, où elle devait être détenue, probablement jusqu'à ce que mort s’ensuive.
Un membre du comité juif d'un prétendu groupe de survivants de l'Holocauste qui s'appelle le Comité international d'Auschwitz a déclaré : « Il faut faire pression pour que la police la retrouve. ».
Le journal local Westfalen-Blatt a rapporté que la maison de Vlotho dans le centre de l'Allemagne où résidait Ursula Haverbeck semblait vide ces derniers jours, le courrier s'empilant devant la porte. La chasse à l’homme (sic) déclenchée pour retrouver une femme âgée coupable de réfléchir risque de se retourner contre les profiteurs de l’industrie de l’Holocauste. Dans une enquête récente, les deux tiers des gens ont déclaré qu’ils étaient excédés par les revendications incessantes et déplacées des profiteurs de ce système pervers.
https://europeansworldwide.wordpress.com/2018/05/07/holohoax-heroine-on-the-run/