NouveautésLe procès des falsificateurs de l'Histoire Cette bande dessinée de 50 pages raconte le procès d'un révisionniste autorisé à se défendre librement sur le fond. Pour contrer ses adversaires qui lui ressortent les arguments de l'histoire officielle, l'accusé invoque donc tous les documents historiques qu'il souhaite et, aussi, tous les témoins qu'il souhaite, y compris les fantômes de Hitler, Göring, Himmler, Höss, etc. La réplique révisionniste à l'accusation est cinglante.
Pourquoi les Alliés n'ont-ils pas bombardé Auschwitz ? (96 pages) Le 12 juin 2014, le Pape a rappelé que pendant la guerre, les « grande puissances » n'avaient pas bombardé les voies ferrées qui menaient aux « camps de la mort ». Il souhaite qu'on en « parle un petit peu »... Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard explique pourquoi les Alliés n'ont bombardé ni les voies ferrées, ni Auschwitz, ni aucun prétendu « camp d'extermination" : ils savaient qu'aucune extermination massive ne se déroulaient à l'Est. Les informations reçues n'étaient que des rumeurs sans fondement : Vincent Reynouard le démontre avec un exposé synthétique qui s'appuie sur des documents historiques et sur des études postérieures à la guerre. Parmi les moments chocs de cette étude : une remise dans le contexte de la politique antijuive allemande à partir de 1939 ; une explication des fameuses photos prises par la Résistance polonaise en 1944 et qui montreraient l'extermination des juifs hongrois ; une réfutation quelques paragraphes de la fiabilité des « aveux » de l'ancien commandant d'Auschwitz Rudolf Höss ; la démonstration qu'un nouveau "témoin" des prétendus gazages homicides de Birkenau est un vulgaire imposteur...
Pourquoi les Allemands ont-ils dynamité les crématoires d'Auschwitz? Un argument revient souvent : « Si, vraiment, les crématoires d’Auschwitz avaient uniquement servi à brûler des morts de maladie, pourquoi les Allemands les ont-ils dynamités avant d’évacuer Auschwitz ? La réponse, très simple, nécessite de revenir six mois plus tôt, lorsque les Soviétiques libérèrent le camp de Majdanek que les Allemands avaient laissé intact, avec son four crématoire. Quand ces derniers virent le parti que les Soviétiques en tirèrent pour leur propagande à base « d’atrocités », ils voulurent empêcher leurs ennemis de renouveler leur coup médiatique avec Auschwitz.
La découverte des "chambres à gaz" du camp de Sobibor : une supercherie intellectuelle En septembre 2014, la grande presse a annoncé à son de trompe que les chambres à gaz du camp de Sobibor avaient enfin été découvertes. « Il aura fallu attendre près de 70 ans pour découvrir l’endroit exact des chambres à gaz du camp d’extermination de Sobibor » a-t-on pu alors lire. Dans cette brochure, Vincent Reynouard explique pourquoi cette découverte archéologique ne fait nullement avancer le débat sur la réalité du prétendu « Holocauste ». Car à Treblinka, à Sobibor où ailleurs, l’existence dans ces camps de locaux en pierre n’est contestée par personne. C’est leur destination qui fait débat… Or, sur ce sujet, les tenants de la thèse officielle ne peuvent apporter aucun argument. Au contraire, les documents d’époque jouent en faveur des révisionnistes. S’appuyant sur les travaux de MM. Graf, Mattogno et Kues, Vincent Reynouard reproduit ainsi l’ordre d’Himmler de transformer « le camp de transit de Sobibor » en camp de travail. L’expression « camp de transit » figure en toutes lettres. V. Reynouard répond en outre à l’argument selon lequel les révisionnistes n’ont retrouvé aucun survivant de Sobibor (ou d’un quelconque autre camp de transit).
Sylvia Stolz parle Dans un exposé d’une heure quarante, l’intrépide avocate des révisionnistes allemands (Ernst Zündel, Germar Rudolf…) explique la façon dont la « justice » allemande traite les révisionnistes. Son exposé vous entraînera dans l’enfer d’un univers où l’injustice règne en maître. Interdiction de présenter des « preuves », interdiction de poser des questions d’ordre historique, accusé présumé coupable, pressions multiples sur les avocats pour les empêcher de défendre leur client, avocats qui se retrouvent à leur tour au banc des accusés lorsqu’ils ont osé braver les pressions... DVD en cinq langues : allemand, français, anglais, russe, roumain