La restitution des biens spoliés s’éternise en Europe

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La restitution des biens spoliés s’éternise en Europe

Postby phdnm » 9 years 1 month ago (Fri Apr 25, 2014 11:23 pm)

Pologne : mauvais élève

Lituanie : bon élève

Croatie : élève en progrès

Serbie : élève prometteur

Les pays qui portent la responsabilité de la perpétration de la Shoah doivent également payer des réparations pour leurs crimes.


Pas d'exemption ! tout le monde passe à la caisse !


La restitution des biens spoliés s’éternise en Europe de l’Est


Cinq ans après la signature de la Déclaration de Terezin destinée à accélérer l’indemnisation des rescapés, la majorité des pays de l’Est n’a toujours pas rempli ses devoirs

Lorsque la Conférence de Prague sur les avoirs liés à l’époque de la Shoah (Holocaust Era Assets Conference) s’était achevée en 2009 sur l’adoption d’une déclaration historique de principes sur la restitution des biens spoliés par les criminels nazis, les défenseurs des victimes du génocide espéraient alors qu’un certain sens de la justice finirait par triompher.

La Déclaration de Terezin, adoptée par 46 pays participant à la Conférence de Prague, organisée par la République tchèque et ses partenaires du 26 au 30 juin 2009, a déterminé une série d’objectifs destinés à la restitution des biens et aux compensations. Elle reconnaît l’âge avancé des survivants de la Shoah et rappelle l’urgence d’améliorer leur sort sur le plan économique et social.

« Observant qu’il importe de restituer aux communautés et aux individus les biens immobiliers qui appartenaient aux victimes de la Shoah et aux autres victimes des persécutions nazies, les États participants appellent instamment à tout mettre en œuvre afin de réparer les conséquences des prises de possession injustifiées de biens telles que confiscations, ventes forcées et ventes dans des situations de contrainte qui s’inscrivaient dans le cadre des persécutions subies par ces groupes ou individus innocents dont la plupart sont morts sans héritier », soulignaient les signataires de la déclaration.

Cinq ans plus tard, le bilan sur des progrès éventuels est mitigé.

La crise persistante de la zone Euro a entravé les efforts visant à obtenir des pays d’Europe de l’Est l’adoption d’une loi sur les restitutions. La Déclaration de Terezin n’impose pas de quelconque engagement concret – voire même les signatures des pays présents.

La Pologne, seul pays européen occupé par les nazis n’ayant pas promulgué de loi substantielle sur la restitution de la propriété privée, n’a même pas daigné se présenter à la réunion de suivi en 2012.

Depuis 2009, la Lituanie est le seul pays à avoir adopté une loi importante sur la restitution : une somme de 53 millions de dollars votée en 2011 et allouée sur dix ans, dédiée aux biens communaux saisis pendant l’Holocauste.

« La plupart des pays hésitent à s’engager dans une politique de restitution ou de compensation pour les biens perdus », a déclaré Douglas Davidson, l’émissaire du Département d’Etat américain chargé des questions sur la restitution des biens liés à la période de l’Holocauste.

A la veille des fêtes de Pessah, Davidson se trouvait à Zagreb avec des dirigeants juifs afin de négocier avec les représentants du gouvernement croate. Selon les négociateurs, la Croatie est l’un des rares pays à mener des pourparlers sur la question des restitutions et où un accord est envisageable dans un avenir proche.

« Ils veulent le faire, ils savent qu’ils doivent faire, mais leur économie est dans une situation désastreuse. La reconnaissance leur coûtera 1 milliard d’euros d’indemnisation pour les biens nationalisés par le régime communiste en Yougoslavie après la guerre », explique Davidson.

Afin d’accélérer la campagne de restitution des biens dans les pays qui traînent des pieds, la World Jewish Restitution Organization a décidé d’exercer des pressions publiques et politiques au sein de l’Union européenne.

Au mois de février, l’organisation a obtenu une lettre signée par cinquante parlementaires britanniques et adressée au Premier ministre polonais Donald Tusk, pour lui réclamer des comptes sur ​​les restitutions.

« Malheureusement, la Pologne se distingue par son absence d’engagement, ni même de reconnaissance de sa responsabilité envers les victimes », déclare la lettre, dont la principale signataire était la baronne Ruth Deech. Membre de la Chambre des Lords, Deech est la petite fille de familles juives propriétaires de biens considérables en Pologne.

« La Pologne a la responsabilité de restituer aux survivants de l’Holocauste, à leurs héritiers et autres victimes, les biens saisis par les nazis ou ultérieurement nationalisés par les régimes communistes », explique la lettre.

« La Pologne démocratique continue injustement de bénéficier des propriétés privées des victimes. Beaucoup de ces victimes et de leurs héritiers – juifs et non juifs – sont des citoyens britanniques ».

Ce mois-ci, le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague a apporté son soutien à la campagne.

« L’Europe est un partenaire aussi important, et dans certains cas plus important que les Etats-Unis », a déclaré Gideon Taylor, le directeur des opérations de WJRO.

L’administration Obama participe également à cette campagne en faveur de la restitution des biens spoliés sous le régime nazi. Le vice-président Joe Biden aurait soulevé la question au cours de réunions privées avec les dirigeants européens.

Les années 1990 représentent un âge d’or en matière de législation sur la restitution des avoirs liés à la période de l’Holocauste.

En effet, les pays fraîchement indépendants d’Europe centrale et orientale se sont montrés très réceptifs sur la question afin de gagner les faveurs de l’Occident et d’améliorer leurs chances d’adhérer à l’OTAN.

La question des restitutions a souvent été évoquée lors des audiences du Sénat américain sur l’adhésion à l’OTAN. C’est à cette période que plusieurs accords majeurs ont été signés. L’ouverture des archives étatiques après la chute du rideau de fer a contribué à maintenir la question à l’ordre du jour.

La restitution des biens appartenant aux Juifs d’Allemagne de l’Est fut érigée en condition pour parvenir à un accord de réunification de la nation allemande en 1990. Depuis, plus de 3 milliards de dollars d’actifs ont été restitués.

Aujourd’hui, les négociateurs en charge du dossier des restitutions brandissent en premier lieu l’exigence de justice, mais également l’urgence d’obtenir réparation avant que la dernière génération de rescapés ne disparaisse.

« Nous avons eu une certaine influence à un moment de ce processus – quand les pays ont été admis à l’OTAN ou à l’UE – dans les années 1990 ou au début des années 2000 », a déclaré Daniel Mariaschin, vice-président exécutif du Bnai Brith International, également membre de la WJRO.

« Ce qui prime désormais est l’impératif moral de cette affaire, et la bonne volonté ou l’absence de bonne volonté des gouvernements concernés, mais également ​​la capacité de persuasion de la WJRO. C’est une tâche plutôt difficile. »

La tâche se révèle bien plus complexe en raison du rythme et de la durée des négociations.

Etalées dans la plupart des cas sur une décennie, voire davantage, les discussions perdent de leur intensité alors que les gouvernements se font et se défont, que les récessions et les politiques d’austérité émergent, et enfin que la hausse du sentiment nationaliste rend parfois toute transaction plus difficile.

Même les gouvernements qui reconnaissent pleinement leur devoir de restituer les biens spoliés aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale se montrent frileux quant à l’idée de transférer des actifs nationaux à des Juifs résidents hors du pays.

Conséquences : certains des pays qui ont adopté la législation sur la restitution ou les réparations n’autorisent toujours pas les non-citoyens ou ceux qui résident en dehors du pays à en bénéficier.

Selon Greg Schneider, vice-président exécutif de la Claims Conference, en charge principalement des restitutions des avoirs liés à l’Allemagne et à l’Autriche, le public européen a besoin de comprendre que la question n’est pas de donner quoi que ce soit, mais de rendre des biens à leurs propriétaires légitimes.

« La restitution des biens n’est pas un cadeau, ce n’est pas une faveur », a déclaré Schneider. « Il s’agit de rendre une propriété volée ».

La plupart des gouvernements européens ont accepté ce principe, affirment les négociateurs. Mais la question est de savoir si le processus est économiquement et politiquement réalisable. Les sommes en jeu sont considérables.

Les pays qui portent la responsabilité de la perpétration de la Shoah doivent également payer des réparations pour leurs crimes.

En Lituanie, où la quasi-totalité de la population juive d’avant-guerre du pays – 200 000 personnes – a été assassinée, souvent avec la complicité des Lituaniens, l’accord conclu en 2011 sur la restitution prévoyait également 1 million de dollars de compensation symbolique, soit 600 dollars versés aux 1 775 victimes juives lituaniennes de l’Holocauste.

Selon les négociateurs, le prochain pays susceptible d’adopter une loi importante sur la restitution pourrait être la Serbie, où la question est intégrée à ses thèmes de campagne pour assurer son admission dans l’Union européenne.

Le dernier de la classe en matière de politique de restitution reste à bien des égards la Pologne, où quelque 3 millions de Juifs vivaient avant la guerre. En effet, aucune loi sur la restitution des biens privés n’a été adoptée.

Selon Taylor, ancien président de la Claims Conference, la Pologne ne devrait pas être rebutée par l’ampleur des revendications possibles.
« La Pologne, la Hongrie et la Roumanie sont probablement les pays les plus concernés, car ils rassemblaient les plus grandes communautés d’avant-guerre », explique-t-il.

« Nous sommes en quête d’un système et d’un processus, pas d’une somme forfaitaire. Parfois, vous parvenez à arracher un accord. Nous voulons un processus juste ».


La restitution des biens spoliés s?éternise en Europe de l'Est | The Times of Israël



Un article de Robert Faurisson illustrant la mentalité juive en question de "réparations" ...






Le prétendu « Holocauste » des juifs et les prétendues chambres à gaz nazies forment une seule et même imposture. La gravité, l'étendue et la durée de cette imposture ne peuvent surprendre que ceux qui ignorent tout un aspect de la tradition juive. Pour illustrer cet aspect et pour en expliquer le caractère naturel chez les juifs, il suffit de connaître le sens et la portée de deux mots hébreux et d'un mot yiddish : ceux de « Shoah », de « shutzpah » et de « schnorrer ».


Au terme de « génocide » ou d’« Holocauste », les juifs préfèrent souvent un mot de leur cru, celui de « Shoah », lequel signifie « catastrophe ». Étant hébreu, ce mot présente, aux yeux des juifs, l'avantage de mieux distinguer le malheur qu'ils ont subi pendant la seconde guerre mondiale de tous les malheurs qu'ont pu connaître pendant la même période tous les non juifs (également appelés « gentils » ou « goïm »). Et c'est ainsi que nous sommes priés de croire que six millions de morts juives pèsent beaucoup plus que quarante millions de morts chez les goïm.


Les juifs sont généralement convaincus qu'ils sont le peuple « élu », et cela dans tous les sens du mot, c’est-à-dire qu'ils ont été choisis par Dieu pour le meilleur et pour le pire. Ils constituent la meilleure part de l'humanité (selon Jean Kahn, ils ont « un supplément d'âme ») mais, en même temps, quand ils souffrent, leur souffrance est spécifique et infinie. Pour cette raison, un crime commis contre un seul juif doit bouleverser l'humanité entière et réclamer vengeance jusqu'à la fin des temps. Aux yeux d'une telle élite, le fait qu'en février 1945 des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants allemands ont été engloutis dans les fournaises du bombardement de Dresde (« le plus grand crématoire du monde pour vivants ») n'est rien en comparaison du fait que, peut-être, selon des témoins juifs, un Britannique d'origine polonaise aurait, en 1941-1942, sous l'occupation allemande, tué trois juifs en Biélorussie. Sous la pression d'organisations juives, cet homme de quatre- vingt-cinq ans va être jugé pour meurtre [1]. Pendant ce temps, à Londres, le responsable du « crématoire pour vivants » de Dresde, le maréchal de la Royal Air Force, Sir Arthur Harris, a sa statue.


Le mot hébreu de « shutzpah » désigne l'impudence, le culot, l'aplomb. Les juifs donnent parfois comme exemple humoristique de shutzpah celui d'un fils qui, après avoir tué successivement son père, puis sa mère, s'avise de réclamer une pension d'orphelin [2].


Le mot yiddish de « schnorrer » désigne le mendiant institutionnel. Le schnorrer estime qu'il a droit à l'aumône et que c'est à lui de déterminer, en toute liberté, le montant de cette aumône. Il insulte ceux qui lui refusent son dû ou lui en contestent le montant. Pour faire valoir ses droits et pour châtier les récalcitrants, il en appellera aux institutions [3].



Afin d'illustrer ce qu'un schnorrer, doté de shutzpah, peut tirer d'une habile exploitation de la Shoah [4], on consultera Le Paradoxe juif, livre de Nahum Goldmann, président du Congrès juif mondial et « presque le pape des juifs » [5].


Pour ce personnage, qui avait le franc-parler du parfait cynique : « La vie juive est composée de deux éléments : ramasser de l'argent et protester. »


Le récit de ses tractations avec Konrad Adenauer, chancelier d'Allemagne fédérale, est hallucinant pour un goy. Ce haut représentant de la communauté juive internationale ne fait mystère d'aucun des subterfuges, ni d'aucun des chantages qui lui ont permis d'extorquer d'une Allemagne encore exsangue l'engagement d'avoir à verser aux juifs et à l'État d'Israël quatre-vingts milliards de DM [6]. Il raconte, par exemple, deux épisodes qui appartiennent, dit-il, « au chapitre “Comment gagner des millions en racontant des histoires” ». Ces histoires-là sont dignes d'un pur schnorrer. Le chantage auquel il se livre auprès de Raab, chancelier d'Autriche, est tout aussi parlant. Raab, juif et ancien détenu d'un camp de concentration, refuse d'abord de lui verser une somme de trente millions de dollars pour un « arrangement » en faveur des juifs. C'est alors que N. Goldmann le menace de louer à Vienne une salle de deux mille places pour y faire projeter gratuitement le film de l'entrée de Hitler dans la capitale autrichienne en 1938 : on y constate l'enthousiasme des Viennois [7]. Raab cède. Quelques années plus tard, lors d'une visite à Washington, Raab se voit à nouveau réclamer la même somme par N. Goldmann. Il se rebiffe et dit : « Nous avons conclu un arrangement : comment pouvez-vous revenir dessus ? » N. Goldmann lui fait alors comprendre, menace voilée à l'appui, qu'on peut toujours revenir sur un arrangement. Raab lui cède donc une nouvelle fois. Son successeur au poste de chancelier d'Autriche devient Kreisky, un juif lui aussi. N. Goldmann va trouver le nouveau chancelier et lui réclame une nouvelle tranche de trente millions de dollars, mais, l'affaire n'ayant pas trouvé sa fin au moment de la rédaction du livre, nous ignorons si le schnorrer Nahum Goldmann a encore une fois obtenu satisfaction.


Personnellement, je donne tort à ceux qui tentent d'expliquer le mensonge du prétendu « Holocauste » par l'idée d'un « complot juif ». Dans un tel cas, les juifs n'ont nul besoin d'ourdir un complot [8]. Il leur suffit, tout simplement, d'obéir à des usages millénaires, ceux de la tradition juive.


17 mai 1996


Notes


[1] Cas de Szymon Serafinowicz. En Allemagne, voyez le cas de Theodor Oberländer, âgé de quatre-vingt-onze ans, totalement aveugle et à demi paralysé ; déjà persécuté par le régime communiste allemand qui l'avait condamné par contumace (jugement cassé après la réunification de l'Allemagne), il passe maintenant en jugement à Cologne. De son côté, le juif Markus Wolf, ex-éminence de la police communiste de la RDA, joue les vedettes médiatiques.

[2] On découvre une récente illustration de ce qu'est la shutzpah dans la plainte de la chanteuse Régine Schekroun (« la reine des boîtes de nuit ») contre la compagnie American Airlines ; pour les détails, voy. « La contre-attaque de Régine », Le Figaro , 21 mai 1996, p. 10.

[3] Sur certains traits de ce mendiant institutionnel, voy. L. Rosenzweig, « Schnorrer », Le Monde, 26 avril 1996, p. 29.

[4] Les juifs eux-mêmes désignent par l'expression « Shoah Business » l'exploitation du prétendu « Holocauste ». Ils disent même : « There's no business like Shoah Business ». L'expression, issue des milieux juifs new-yorkais, semble remonter au début des années soixante-dix.

[5] Nahum Goldmann, Le Paradoxe juif [Conversations en français avec Léon Abramowicz], Stock, 1976 ; voy., en particulier, les pages 67, 152-167, 231.

[6] Le gouvernement de Bonn semble avoir versé à ce jour cent milliards de DM. Il prévoit de verser des « réparations » jusqu'en l'an 2030. A ces sommes il convient d'ajouter les importantes contributions accordées aux juifs ou à l'État d'Israël par les Länder (c’est-à-dire les provinces), par les grandes entreprises industrielles ou bancaires et par nombre d'associations allemandes. Par ailleurs, d'autres pays se voient, eux aussi, contraints de verser, sous peine de boycottage américain ou international, des «réparations» ; tel est, en ce moment, le cas de la Suisse ou de la Hongrie. La France, pour sa part, va verser de l'argent aux juifs en conséquence de la déclaration qu'au lendemain de son élection à la présidence de la République Jacques Chirac a cru devoir faire sur la culpabilité des Français dans «les crimes de l'État français (1940-1944) ». Le paradoxe est qu'en France un ancien résistant sera ainsi amené à payer pour des « crimes » qu'il combattait.

[7] On oublie trop souvent que, dès 1918, les Autrichiens ont manifesté leur désir d'être rattachés à l'Allemagne. Le 12 novembre 1918, la république est proclamée à Vienne ; elle se rattache au Reich allemand. Ce n'est qu'en raison de l'opposition des Alliés que cette dernière décision est annulée.

[8] Il est plaisant d'entendre les juifs se plaindre ou se moquer de ce que certains goïm parlent de «complot juif». Nul n'est plus porté à voir partout des complots que le juif élevé dans la croyance que l'antisémitisme est le résultat d'une sorte d'entente millénaire qui va des Égyptiens de l'Antiquité aux Allemands du IIIe Reich en passant, pour ainsi dire, par tous les peuples de la terre, de siècle en siècle et pour l'éternité. L'idée de « complot» est, en ce sens, typiquement juive.

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