Sur Finkelstein et son "Industrie de l'Holocauste"
Il est surprenant de constater l'emballement de certains devant le livre de Norman Finkelstein "L'Industrie de l'Holocauste" comme si ce livre venait confirmer les thèses révisionnistes.
Or il n'en est rien: l'auteur à aucun moment ne met en doute l'existence des chambres à gaz et chacune de ses pages confirme, au contraire, la version officielle de cet "Holocauste".
Ce point de vue se trouve confirmé, entre autres, par un livre publié en français par les éditions La Sfinge en 2012: il s'agit du livre "L''Holocauste': une arme de dissuasion massive", de Irmin Vinson, dont l'original en américain, "Some Thoughts on Hitler and Other Essays" (Quelques réflexions sur Hitler et autres essais), a été publié aux Etats-Unis en 2012, avec un avant-propos de Kevin MacDonald.
Nous ne saurions trop recommander la lecture de ce livre plein de pépites révisionnistes (*).
Voici le passage qui nous intéresse:
(...) Finkelstein a quelque chose de commun avec le révisionniste Robert Faurisson, qui s'emploie depuis plus de deux décennies à démythifier "la religion de l'Holocauste".
Toutefois, la violation tactique des tabous ne prouve pas le rejet de la religion dont ces tabous font partie.
Comme nous le verrons, Finkelstein partage la même foi et ne s'en prend qu'à ceux qui en font un mauvais usage. Nombre de ses convictions au sujet de l' "Holocauste" ne se distinguent pas de celles de l'industrie de l'"Holocauste" qu'il attaque, et sa critique "radicale" de l'orthodoxie holocaustique aboutit à réaffirmer quelques-uns de ses dogmes les plus importants sous une forme simplement un peu moins pernicieuse. (...) Il y a beaucoup de bonnes choses dans "L'Industrie de l'Holocauste", mais aussi beaucoup d'éléments qui traduisent une querelle ethnique propre aux Juifs, querelle qui, chose prévisible, ne remet pas en cause les principes fondamentaux du prétendu Holocauste. (...)
(*) Disponible chez Akribeia
Écrit d’une plume alerte au service d’une réflexion subtile entrecoupée de formules frappantes, ce livre est avant tout une analyse et un démontage des mécanismes psychologiques et idéologiques qui ont présidé à la fabrication progressive de l’ « Holocauste ».
Depuis Arthur Miller et son roman Focus de 1945 jusqu’au « survivant professionnel » Élie Wiesel, en passant par les musées de l’Holocauste, l’auteur déconstruit un discours délirant mais savamment échafaudé, qui tourne autour de quelques points obsessionnellement repris en boucle : la Seconde Guerre mondiale doit être regardée comme la simple toile de fond de l’ « Holocauste » ; celui-ci a été l’aboutissement naturel et inévitable de toutes les formes d’affirmation raciale des peuples d’origine européenne ; l’ « Holocauste » doit devenir l’élément majeur et central de toute l’histoire occidentale ; la « singularité absolue » de la Shoah répond parfaitement à l’élection divine du peuple juif.
L’ « Holocauste » fait ainsi partie intégrante d’une gigantesque campagne pour éliminer la question juive en décrétant que toute perception de son existence relève de la pathologie, la critique des Juifs devant être réservée désormais aux Juifs eux-mêmes, comme l’illustre le cas de Norman Finkelstein.
En fait, l’holocaustomanie nous fait voir notre passé avec les yeux des Juifs : elle est donc le comble de l’aliénation. Sa vraie nature est celle d’un mythe incapacitant, d’une technique d’ahurissement et de sidération.
L’ « Holocauste » est une arme de dissuasion massive visant à interdire à jamais de parole les Blancs non encore résignés à la disparition de leur culture et de leur race.
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