Twitter débat de la question de savoir si Anne Frank avait le « privilège blanc »
9 juillet 2022
Le débat sur Anne Frank serait né d’une série d’arguments alambiqués et sans pertinence sur Twitter au cours des mois.
Anne Frank a fait le buzz sur Twitter dimanche alors que les utilisateurs de la plate-forme de médias sociaux débattaient de la question de savoir si la victime de l’Holocauste était une bénéficiaire du « privilège blanc », avantage que la société est censée accorder à ceux qui sont racialement blancs.
« Anne Frank avait le privilège blanc », a déclaré un utilisateur de Twitter. « De mauvaises choses arrivent aussi aux personnes ayant un privilège blanc, mais ne le dites pas aux Blancs. »
« Oui, tous les Blancs sont en sécurité », a déclaré un autre commentateur. « Personne ne dit que les nazis n’ont pas ciblé les Blancs, juste que les Blancs peuvent se cacher derrière leur blancheur, alors qu’aux États-Unis nazis, les Noirs ne le peuvent pas. Allez dire aux Noirs que ces préjugés sont infondés. »
« Anne Frank a été assassinée parce qu’elle n’était pas blanche », a répondu l’écrivaine israélo-américaine Emily Schrader. « Six millions de Juifs ont été assassinés parce qu’ils n’étaient pas blancs. »
« Vous devez vous moquer de moi », a déclaré le chanteur de Disturbed David Draiman en réponse à la tendance. « AnneFrank ? Sérieusement ? »
« Je n’arrive pas à croire que je me connecte à Twitter ce matin et que je vois des gauchistes débattre sans ironie de la question de savoir si Anne Frank bénéficiait ou non du privilège blanc », a déclaré la candidate républicaine au Congrès du Texas, Irene Armendariz-Jackson.
Le journaliste Ben Hartman a noté la juxtaposition de suivre le débat sur les Juifs ayant des privilèges alors qu’il avait également reçu un courriel informant d’un avertissement du FBI d’une menace pour la sécurité de la communauté juive de San Antonio.
Le débat sur Anne Frank serait né d’une série d’arguments alambiqués et sans rapport sur Twitter au cours des mois, selon un utilisateur de Twitter commençant par des stéréotypes sexuels sur les femmes blanches. Cela aurait dégénéré en accusations de racisme et en discussions sur l’identité raciale.
Ce n’est pas la première fois qu’Anne Frank est dénigrée en tant que bénéficiaire du privilège blanc.
Jusqu’où cela remonte-t-il ?
« J’ai un conseil pour mes compatriotes juifs », a déclaré la journaliste Erin Biba. « Chaque fois que vous voyez Anne Frank faire le buzz – ce qui arrive plus que vous ne l’imaginiez – ne cliquez absolument pas pour savoir pourquoi. Continuez simplement votre vie sans savoir. C’est mieux pour votre santé mentale. »
L’activiste israélien Hen Mazzig a déclaré que sur Twitter, il avait « vu des gens appeler Anne Frank 'une Becky', 'privilégiée' et 'chanceuse'. Nous parlons d’un enfant qui a été assassiné. Faites preuve de décence et de respect. »
https://www.tmz.com/2022/07/09/twitter- ... privilege/
https://www.jpost.com/diaspora/antisemi ... cle-711725
COMMENTAIRE
Les aboyeurs professionnels de l’Unique mémoire commencent à perdre la main quand ils sont confrontés aux autres « victimes institutionnelles » qui n’hésitent plus à s’en prendre au système holocostico-monopolisitique. Quant au bon conseil visant à s’abstenir de regarder derrière le miroir de la doxa frankiste dans le but de préserver sa santé mentale, on comprend pourquoi l’affaire Anne Frank ne bénéficia nullement d’un fictif privilège blanc mais d’un bien réel privilège juif.
Le Journal d’Anne Frank commence le 12 juin 1942 pour se terminer le 5 décembre 1942. Anne Frank l’aurait complété avec des lettres personnelles. Son père, Otto Frank, dit qu’Anne a entendu Gerrit Bolkenstein dire dans une émission : « Tenez un journal : il sera publié après la guerre », et c’est pourquoi Otto Frank a affirmé qu’Anne Frank a réécrit son journal une deuxième fois en 1944.
Dans cette deuxième version, un nouveau rédacteur a modifié, réarrangé et parfois combiné des pages de différentes dates. Quand Anne Frank a soi-disant réécrit son journal, le scripteur utilisa un stylo à bille, une technique encore inédite en 1944, et son récit a pris sans transition une forme littéraire sophistiquée : dans la deuxième version, le style a beaucoup évolué.
Le « vrai » journal d’Anne Frank contient seulement environ 150 feuillets, selon le New York Times, du 2 octobre 1955.
En 1944, les autorités allemandes en Hollande occupée ont réalisé qu’Otto Frank avait escroqué la Wehrmacht en falsifiant de gros et très lucratifs contrats de fournitures militaires.
De 1939 à 1944, Otto Frank a vendu de la pectine à l’armée allemande, un adjuvant qui a été utilisé comme émulsifiant pour l’essence gélifiée utilisée dans les bombes incendiaires. La police allemande a ensuite perquisitionné sa maison et les occupants ont été envoyés au camp de travail de Westerbork.
Otto Frank lui-même a été envoyé à Auschwitz. Anne, sa sœur Margot, et sa mère, moururent par la suite du typhus à Bergen-Belsen, ce qui est définit comme étant un assassinat par ceux qui usent et abusent du privilège juif.
En 1945, après avoir été libéré, Otto Frank est revenu à Amsterdam, où il a prétendu avoir découvert le journal d’Anne soigneusement dissimulé dans les combles.
Cependant, une employée d’Otto Frank, Miep Gies a déclaré qu’Anne Frank lui avait confié son journal pour qu’elle le cache, et qu’elle l’a ensuite remis à Otto Frank dès son retour.
Otto Frank a pris ce qu’il affirmait être des lettres et des notes d’Anne Frank, les a classées dans un dossier, qu’il a ensuite confié à sa secrétaire, Isa Cauvern, pour relecture. Isa Cauvern et son mari Albert Cauvern, un écrivain, sont les auteurs de la première version du journal.
Des questions ont été soulevées par certains éditeurs pour savoir si Isa et Albert Cauvern, qui ont aidé Otto Frank en dactylographiant le manuscrit, ont utilisé les journaux originaux ou la version personnelle du père.
Meyer Levin a écrit la troisième version du Journal d’Anne Frank. Cet écrivain et journaliste américain renommé a vécu en France, où il a connu Otto Frank quelques années après la guerre.
Selon l’expert en littérature Philippe Lejeune, « Otto Frank a su faire, littérairement et humainement, un travail admirable en menant à son terme la réécriture et le montage qu’Anne avait entrepris ».
L’admirable faussaire a utilisé un stylo Bick pour faire parler les morts tout en présentant sa version comme le document original.
Le Professeur Faurisson le disait déjà il y a quarante ans…
http://robertfaurisson.blogspot.com/197 ... st-il.html
BOCAGE INFO - Dépêche No 222/2022