Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 2 years 6 months ago (Wed Nov 11, 2020 11:30 am)

Les Confessions de Kurt Gerstein

Étude comparative des différentes versions

Henri Roques

Préface d'André Chelain


Henri Roques (1920-2014) était un honorable retraité, vivant dans la banlieue parisienne, qui défraya la chronique en soutenant avec succès une thèse de littérature comparée et de critique de textes devant un jury de l’université de Nantes. La teneur et les conclusions de cette thèse firent scandale dans les médias. Du jour au lendemain, Henri Roques occupa la première page des journaux, déclenchant une vaste polémique qui conduisit les autorités universitaires et le ministère de l’Éducation à prendre des mesures énergiques à la demande de ceux qui s’estimaient offensés par les conséquences que pourraient avoir les conclusions de la thèse dans l’opinion publique mondiale. Étrange affaire qui mit le monde entier en émoi. Qu’en est-il exactement? Quelle est la nature réelle des travaux universitaires d’Henri Roques? Quels sont les points de vue des différentes parties présentes dans cette affaire? On trouvera dans la troisième édition de cet ouvrage, enrichie de quelques nouvelles annexes (au total 150 pages d’annexes qui ne figuraient pas dans le texte original de la thèse de Roques), les principales pièces du dossier qui permettront aux lecteurs de se forger une opinion. À noter un additif qui résout l’énigme du « mystérieux visiteur » de Paul Rassinier en «juin 1963».




Ils nient l'histoire ?

Réfutation d’un ouvrage antirévisionniste et de sa fausse «convergence des preuves»

Carlo Mattogno


En l’an 2000 parut aux États-Unis un ouvrage (Denying History. Who Says the Holocaust Never Happened and Why Do They Say It?) qui nourrissait de grandes ambitions. Il s’agissait pour ses auteurs, Michael Shermer et Alex Grobman, de réfuter en détail les thèses et les arguments des révisionnistes, de proposer une analyse en profondeur de leur personnalité et de leurs motivations, et de montrer avec précision, preuves solides à l’appui, « comment nous savons que l’Holocauste a eu lieu ». Ce livre de Shermer et Grobman ne cesse d’être cité dans la littérature antirévisionniste et au-delà. C’est dire l’importance et l’intérêt de la présente étude. Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe en effet ici en revue les principaux arguments des deux auteurs et apporte la preuve, page après page, du total amateurisme de ces historiens de rencontre.


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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 2 years 4 weeks ago (Wed May 12, 2021 8:31 am)

Tabou, vol. 26


Au sommaire : Christophe Dolbeau : Des Américains au service de l’Axe. – Tué par inadvertance… – Lee Richards : Rumeurs de guerre. [La diffusion de rumeurs par la Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale, en particulier à propos de maladies et de gaz toxiques, a-t-elle donné naissance aux « chambres à gaz » homicides du IIIe Reich ?] – Robert A. Graham : Le Vatican dans la guerre psychologique de l’Angleterre, 1939-1945. L’histoire des « sibs » ou « mensonges autorisés ». – Thomas Kues : Trois livres sur Treblinka. – James J. Weingartner : Trophées de guerre : les troupes américaines et la mutilation des Japonais morts au combat, 1941-1945. – Robert Hampton : Le piège de l’ «avant-garde révolutionnaire ». – Greg Johnson : Les différences irréconciliables : des arguments en faveur du divorce racial.




Raul Hilberg et les « centres de mise à mort » nationaux-socialistes

Les sources et la méthode d’un bien étrange historien

Carlo Mattogno


Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe ici au crible le chapitre de La Destruction des Juifs d’Europe de Raul Hilberg consacré aux « centres de mise à mort ». Ce chapitre représente la quintessence de cet ouvrage, le but vers quoi il tend tout entier, qui le justifie et en est la raison d’être. La conclusion de l’analyse de Mattogno est impitoyable. Pour lui, Hilberg n’a jamais fourni aucun effort personnel de documentation dans son domaine de spécialisation. Il ne s’est absolument pas soucié de trouver d’éventuels documents sur les « centres de mise à mort » in loco, en Pologne ; il n’a même pas eu la curiosité de visiter des archives capitales, comme celles du musée d’Auschwitz, ou importantes, comme celles du musée de Lublin-Majdanek ou de Stutthof, ni d’inspecter les lieux : il s’est borné à produire un pâle résumé de la littérature exterminationniste et mémorielle de l’époque.



Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.


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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 1 year 6 months ago (Fri Nov 19, 2021 8:20 am)

Les Rapports de la résistance polonaise sur les chambres à gaz d’Auschwitz (1941-1944)

Enrique Aynat


L’auteur a toujours été curieux de savoir quelles informations le gouvernement polonais en exil et le mouvement clandestin polonais à l’intérieur de la Pologne – la résistance – possédaient sur le camp de concentration allemand d’Auschwitz. Il a déjà consacré un travail à cette question. Il y indiquait que la résistance polonaise, et donc le gouvernement polonais en exil, savait ce qui se passait à l’intérieur d’Auschwitz. Les membres des différentes organisations de résistance étaient bien placés dans les centres névralgiques du camp de concentration, tels que le bureau central, l’hôpital, la direction des constructions, le bureau d’affectation des tâches et la section politique. Il est clair que la résistance ne pouvait ignorer les événements majeurs du camp, et en particulier la présumée extermination massive des Juifs.

Dans le présent ouvrage, l’intérêt du révisionniste espagnol Enrique Aynat s’est porté sur l’étude des informations traitées par la résistance concernant le principal instrument avec lequel, prétendument, s’effectuait une telle extermination de masse : les chambres à gaz homicides.




Le Gouvernement polonais en exil et Auschwitz

Enrique Aynat


d’après le périodique Polish Fortnightly Review, 1940-1945


Le révisionniste espagnol Enrique Aynat a cherché à savoir comment avait pu réagir le gouvernement polonais en exil devant les gigantesques tueries de Juifs qui étaient censées se produire dans le camp de concentration d’Auschwitz. Il est parti de l’hypothèse selon laquelle, s’il s’était produit à Auschwitz un grand massacre de Juifs, le gouvernement polonais en exil aurait dû en avoir connaissance et, en conséquence, aurait réagi d’une manière ou d’une autre.

Le but que le révisionniste espagnol s’est proposé dans la présente étude a été de vérifier ce que publia sur Auschwitz le périodique Polish Fortnightly Review, organe du ministère de l’Intérieur du gouvernement polonais à Londres et principal véhicule de dissémination de la propagande polonaise en langue anglaise.

Au fil de son analyse, l’auteur a constaté que la Polish Fortnightly Review donna d’amples informations sur le camp de concentration d’Auschwitz, mais nullement dans le sens d’une liquidation de Juifs qui se serait produite là-bas et, parallèlement, elle fit fréquemment allusion à l’extermination de Juifs mais sans jamais dire qu’elle avait lieu à Auschwitz.

La réalité est que la Polish Fortnightly Review, qui pouvait savoir – et savait sans aucun doute – ce qui se passait à Auschwitz, s’est, de 1942 à mai 1945, abstenue de toute référence à une extermination de Juifs qui aurait été effectuée durant plus de trois années dans ce camp.



Mise à mort de deux innocents

Le Zyklon B, Auschwitz et le procès du Dr Bruno Tesch


William B. Lindsey


En 1923, le Dr Tesch créa, avec Paul Stabenow, la société Tesch und Stabenow, dont il deviendra par la suite l’unique propriétaire. Tesch und Stabenow était une entreprise de lutte contre les nuisibles, à l’image de celles qui existaient à la même époque aux États-Unis ou en Angleterre. Elle vendait avant tout ses services et son savoir-faire en matière de lutte contre la vermine. Elle ne fabriquait pas le Zyklon B ni les autres produits chimiques utilisés par son service de fumigation, mais les achetait auprès des usines spécialisées. Avant la guerre, l’entreprise du Dr Tesch connut un rapide essor, car il était désormais possible, grâce au Zyklon B, de désinfecter avec succès des bateaux entiers, des bâtiments, des maisons d’habitation, des salles de réfectoire, des baraquements, des moulins à grains, des silos, des voitures de chemin de fer, etc., sans abîmer leur contenu.

Après la Seconde Guerre mondiale, les autorités d’occupation alliées accusèrent le Dr Tesch et son directeur commercial délégué Karl Weinbacher d’avoir recommandé l’utilisation du Zyklon B et d’avoir livré en toute connaissance de cause ce produit mortel pour tuer plusieurs millions de Juifs à Auschwitz-Birkenau. Condamnés à mort par un tribunal militaire britannique, le Dr Bruno Tesch et Karl Weinbacher furent pendus à la prison de Hamelin (Allemagne), le 16 mai 1946. C’est le destin tragique de ces deux hommes que nous rappelle ici William B. Lindsey.



Traitement spécial à Auschwitz

Origine et signification d’une expression


Carlo Mattogno


S’il est incontestable que, dans nombre de documents du Troisième Reich, l’expression « traitement spécial » est synonyme d’exécution ou de liquidation, cela ne signifie pas qu’elle ait toujours et exclusivement eu ce sens. On dispose de documents dans lesquels le « traitement spécial » n’équivalait pas du tout à un assassinat, et d’autres encore où il désignait un « traitement de faveur ». Le « traitement spécial » des prisonniers de marque des états hostiles au Troisième Reich qui jouissaient d’un traitement princier dans des hôtels de luxe est par exemple bien connu.

Par ailleurs, il y a abondance de documents importants dans lesquels l’expression « traitement spécial » (ainsi que d’autres prétendus « termes codés » comme « mesures spéciales », « opération spéciale » ou « unité spéciale ») couvre toute une palette de significations variées, mais qui correspondent à des aspects parfaitement ordinaires de la vie au camp d’Auschwitz et ne renvoient jamais à l’assassinat d’êtres humains. La plupart de ces documents ne sont pas connus des chercheurs, et, quand ils le sont, la signification de leur contenu a été et est toujours gauchie par les représentants de l’historiographie exterminationniste.

Dans la présente étude, ces documents sont mis à la disposition du lecteur, analysés dans leur contexte historique et des recoupements sont effectués. Par ce moyen, le révisionniste italien Carlo Mattogno montre ce que les documents disent vraiment et non ce que révèlent le « déchiffrage » et l’interprétation mécanique de supposés « termes codés ». En réalité, le « traitement spécial » n’était aucunement un « mot de code » cachant l’indicible, mais plutôt un concept bureaucratique qui, en fonction du contexte, désignait des choses entièrement différentes, de la liquidation au traitement de faveur. Cette réalité contredit l’interprétation prônée par l’historiographie exterminationniste, à savoir que le « traitement spécial » aurait toujours et sans réserve aucune été synonyme d’assassinat.




Une allumette sur la banquise. Écrits de combat (1980-1992)

Serge Thion


Serge Thion avait rassemblé la matière de ce volume au début de 1990. Dix ans avaient passé depuis qu’il avait publié Vérité historique ou vérité politique ?, qui avait fourni à l’époque le premier dossier à peu près complet de l’affaire du révisionnisme. Il y décrivait comment était né ce qu’on appelle l’affaire Faurisson et examinait les sources disponibles concernant l’affaire dite des « chambres à gaz ». Il notait que la documentation fiable était restreinte et que nombre de témoignages soulevaient de graves questions. Il concluait en disant que cette période, comme n’importe quelle autre, devait désormais entrer dans le champ de la recherche historique et de ses méthodes établies. À cela s’ajoutait un dossier de textes dus au professeur Faurisson, afin que les lecteurs puissent se faire une opinion par eux-mêmes. Ce livre devait être difficilement contestable puisque, s’il a été largement vilipendé par une presse qui s’est gardée de rendre compte de son contenu, il n’a jamais été critiqué dans le détail, ni attaqué devant les tribunaux.

Dans les années qui suivirent, l’auteur continua à observer les déroulements de cette affaire, dans la presse et dans diverses publications. Il intervint plusieurs fois sur tel ou tel point. Il défendit un point de vue qui doit beaucoup à Rassinier et à une tradition libertaire où lui-même et beaucoup d’autres, dont la Vieille Taupe, s’abreuvèrent.

Le présent volume est composé de textes datés qui sont des analyses ou des réactions à tel événement ou tel personnage qui a voulu participer au débat, public ou privé. Serge Thion a ajouté à l’ensemble des textes qui devaient être publiés en 1990 quelques autres, en annexe, qui participent de la même volonté d’instaurer un espace de libre réflexion sur l’histoire et la politique de notre temps. L’auteur ne croit détenir aucune vérité particulière mais est sûr de son droit d’exercer un esprit critique auquel notre civilisation prétend reconnaître un rôle central. Ce droit est aussi celui des lecteurs à qui incombe d’examiner ses arguments, avant de les accepter, ou de les rejeter.



La Base antarctique d’Hitler. Mythe et réalité

Colin Summerhayes & Peter Beeching


En janvier-février 1939, une expédition allemande secrète se rendit sur la terre de la Reine-Maud, en Antarctique, apparemment dans l’intention, entre autres, d’y établir une base. Entre 1943 et 1945, les Britanniques lancèrent une opération secrète en Antarctique, sous le nom de code Tabarin. Il semblerait que des hommes du Special Air Services Regiment (SAS), les forces secrètes britanniques chargées d’opérer derrière les lignes, y aient participé. En juillet et août 1945, après la capitulation allemande, deux U-Boote arrivèrent en Argentine. S’étaient-ils rendus en Antarctique pour débarquer des trésors ou des fonctionnaires nazis ? Au cours de l’été austral de 1946-1947, la marine américaine semble avoir « envahi » l’Antarctique avec des forces importantes. L’opération, dont le nom de code était Highjump, fut classée confidentielle. En 1958, trois armes nucléaires explosèrent dans la région, dans le cadre d’une autre opération américaine classifiée, sous le nom de code Argus. Compte tenu du manque initial d’informations sur ces différentes activités, il n’est peut-être pas surprenant que certains les associent afin de bâtir un scénario dans lequel les gouvernements seraient accusés de supprimer les informations sur « ce qui s’est réellement passé » et utilisent ces informations pour construire le mythe d’une grande base allemande en Antarctique et des efforts alliés pour la détruire. En utilisant les connaissances de base sur l’Antarctique et les informations concernant ces activités qui ont été publiées depuis le début des années 1940, les auteurs font œuvre salutaire de démystification.


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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 1 year 4 weeks ago (Wed May 11, 2022 12:36 am)

La Libération de Dachau entre légende et réalité

Jürgen Zarusky


C’est dans l’après-midi du 29 avril 1945, un dimanche, que des soldats américains libérèrent le camp de concentration de Dachau, où environ 32 000 prisonniers de toute l’Europe étaient alors incarcérés. L’arrivée des Américains rendit la liberté aux captifs, les délivra de la faim et du typhus. Bien que la prise du camp par les Américains ne se soit pas réalisée sans quelques combats, ils ne subirent aucune perte, et tout se passa assez rapidement. Toutefois, nombre de SS encore présents dans le camp furent tués, une partie d’entre eux après qu’ils se furent rendus. Sur ces événements, les comptes rendus dont on dispose sont à maints égards contradictoires et confus. Lorsque, en 1986, l’ancien colonel et médecin militaire Howard A. Buechner publia son livre, Dachau : The Hour of the Avenger, il sembla fournir la confirmation irréfutable du massacre systématique, par des soldats américains, du détachement des gardiens du camp de Dachau. Buechner possédait en effet la double autorité de témoin oculaire et de membre des forces de libération. Jürgen Zarusky réexamine dans la présente étude les pièces du dossier avec le regard critique de l’historien.



Vérité historique ou vérité politique ?

Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz


Serge Thion


Voici un individu qui affirme que les chambres à gaz des camps de concentration allemands n’ont jamais existé, qu’elles sont essentiellement un mythe, né des horreurs de la guerre. Mais chose étrange, le fait divers s’enfle et prend des proportions inattendues. La presse, certains politiciens, certains historiens, la justice même, en font une « affaire ». On l’attaque, on le condamne, mais on ne lui répond pas. Pour qui veut d’abord comprendre ce qui s’est passé à cette époque sombre, le chemin ne sera pas sans surprises. Il faut avoir eu en main les éléments du dossier pour voir que, si la politique est satisfaite, l’histoire ne l’est pas. De cette histoire, que savons-nous, et comment le savons-nous ? Quelles sont les questions que nous pouvons nous poser ? Pour l’auteur, une seule certitude qu’il voudrait faire partager : la question n’est pas résolue !

https://www.akribeia.fr/histoire-critique/2291-verite-historique-ou-verite-politique-.html

Les Mensonges du musée d’Auschwitz

Altération de preuves, dénaturation de documents, raisonnements fallacieux


Carlo Mattogno


Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le musée d’Auschwitz cherche désespérément à trouver des preuves documentaires pour étayer l’affirmation selon laquelle des personnes furent massacrées à Auschwitz dans d’immenses abattoirs chimiques appelés « chambres à gaz ». Ses responsables ont été totalement incapables d’y parvenir. Pourtant, ils continuent à prétendre le contraire, tout en ignorant délibérément toutes les publications qui réfutent leurs affirmations. Il est apparu à maintes reprises que les publications du musée sont truffées de traductions inexactes, de déformations, d’incohérences, de raisonnements erronés, de contradictions et d’absurdités. Le présent ouvrage est consacré à l’analyse dévastatrice, par l’historien révisionniste Carlo Mattogno, de l’une de ces publications. Cette étude est précédée d’un texte sur l’imposture de la chambre à gaz du crématoire I d’Auschwitz.



Au sommaire : Kerry Bolton : En défense des sans-défense. Les Américains qui s’opposèrent aux mauvais traitements infligés aux Allemands après la Seconde Guerre mondiale. – Frederick H. Gareau : Le plan de Morgenthau pour le désarmement industriel de l’Allemagne. – Christophe Dolbeau : La tragédie d’Abbeville et l’assassinat de Thierry de Ludre. – Jürgen Graf : David Irving et les « camps de l’opération Reinhardt ». – Panagiotis Heliotis : Personne n’a nié que c’est arrivé ? – Paul Grubach : Le conspirateur Wiesenthal, le témoignage d’Eichmann et l’Holocauste. La contribution de Deborah Lipstadt au révisionnisme de l’Holocauste. – Panagiotis Heliotis : La négation de l’Holocauste et du génocide : une perspective contextuelle.


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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 6 months 4 weeks ago (Fri Nov 11, 2022 10:04 am)

Auschwitz dans les rapports polonais et les témoignages (1941-1947)

Genèse et évolution de l’histoire des chambres à gaz

Carlo Mattogno


Les premiers groupes de résistance apparurent à Auschwitz dès la seconde moitié de 1940 et se multiplièrent dans les années qui suivirent. Ces groupes recevaient du dehors l’aide du mouvement de résistance polonais, qui s’articulait en plusieurs organisations, qui étaient en contact avec les détenus d’Auschwitz par l’intermédiaire d’ouvriers civils polonais employés dans le camp, dont elles recevaient des messages et des informations qu’elles transmettaient à la Delegatura, la représentation clandestine en Pologne occupée du gouvernement polonais en exil à Londres. La Delegatura était divisée en vingt services, dont le cinquième, le « Département de l’Information et de la Presse », était chargé de la collecte, du traitement et de la transmission à Londres des informations provenant des camps. Les historiens polonais ont étudié à fond tous ces aspects, mais le problème fondamental reste entier : que savaient en vérité les détenus sur l’extermination présumée des Juifs ? Et quelles étaient leurs véritables sources ? La présente étude vise à répondre à ces questions.

Dans un premier temps, l’auteur expose et commente les rapports fantaisistes de la résistance du camp et des détenus évadés avant la fin 1944, en retraçant les origines et les développements contradictoires de l’histoire des chambres à gaz d’Auschwitz. En règle générale, les sources sont examinées dans leur version originale, qui est la plupart du temps en polonais.

Il passe ensuite à l’étude des témoignages postérieurs à l’arrivée des Soviétiques à Auschwitz, ce jusqu’en 1947, année où se sont tenus, à Varsovie, le procès contre l’ancien commandant d’Auschwitz Rudolf Höss et, à Cracovie, celui de la garnison du camp. Ces procès forgèrent la version finale de l’histoire globale des chambres à gaz qui aura cours désormais. L’auteur examine enfin les premières tentatives visant à historiciser les fantasmes des résistants et analyse les efforts de certains historiens officiels pour justifier à tout prix des témoignages manifestement mensongers.

Le présent ouvrage de l’historien révisionniste Carlo Mattogno offre un ensemble très vaste de sources dont un nombre non négligeable de rapports et de témoignages ignorés à ce jour par l’historiographie exterminationniste.


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Re: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

Postby phdnm » 3 weeks 4 days ago (Tue May 16, 2023 12:47 am)

Combien de morts à Auschwitz ?

Robert Faurisson


Selon les historiens officiels (ceux que protègent les lois de la République française et le pouvoir médiatique), le nombre des morts à Auschwitz varie de 8 000 000 (c’est le chiffre de l’Office français de recherches des crimes de guerre et du Service français d’information des crimes de guerre en 1945) à un nombre compris entre 630 000 à 710 000 (c’est le chiffre avancé par Jean-Claude Pressac en 1994) ; selon ces historiens, ces personnes auraient été, pour la plupart, victimes d’une politique d’extermination physique. Mais, selon les auteurs révisionnistes, le nombre des morts serait de 150 000, pour la plupart victimes d’épidémies diverses et, en particulier, du typhus. Sous l’influence des auteurs révisionnistes, les historiens officiels en sont venus à pratiquer de si importantes révisions à la baisse qu’on ne comprend pas de quel droit on pourrait continuer en France d’imposer, par la force de la loi, tel ou tel chiffre. À elles seules, les deux inscriptions officielles portées successivement sur le monument d’Auschwitz-Birkenau, d’abord jusqu’en 1990, puis à partir de 1995, prennent aujourd’hui, sans qu’on l’ait voulu, valeur d’avertissement : elles rappellent que, ni en histoire ni ailleurs, il ne devrait exister de vérité officielle.

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Assassinats par le gaz à Auschwitz ?

Trente témoignages passés au crible


Jürgen Graf


L’histoire du tristement célèbre camp d’Auschwitz, telle qu’elle est perçue par le grand public, repose presque exclusivement sur ce qu’en ont rapporté des témoins des deux côtés de l’enceinte du camp. Les bibliothèques et les chaînes vidéo comme YouTube regorgent de récits à ce sujet. Mais dans quelle mesure ces récits sont-ils dignes de foi ? L’une des tâches les plus importantes de l’historien est la critique des sources, c’est-à-dire l’analyse critique des preuves sur lesquelles se fonde notre compréhension de l’histoire. Dans le cas de lieux comme Auschwitz, cela signifie qu’il faut déterminer dans quelle mesure les récits des témoins sont fiables, où les témoins ont pu se tromper, mentir pour telle ou telle raison ou, dans certains cas, ne pas avoir été des témoins du tout. Ce type de critique des sources examine les déclarations pour déterminer si elles sont cohérentes entre elles, si elles concordent avec d’autres déclarations, si elles sont confirmées par des documents de guerre et/ou si elles entrent en conflit avec des preuves matérielles. La présente étude applique cette technique à trente des témoins les plus connus ou les plus importants concernant Auschwitz, dont les anciens détenus Élie Wiesel, Rudolf Vrba, Filip Müller, Charles S. Bendel, Miklós Nyiszli et Olga Lengyel, ainsi que les anciens membres du personnel du camp SS Rudolf Höss, Pery Broad, Johann Paul Kremer, Hans Aumeier, Maximilian Grabner et Richard Böck. Graf reproduit les passages des déclarations de ces derniers où il est question d’exterminations massives à Auschwitz, et les soumet à une analyse objective et critique. Aucun autre chercheur n’a jamais accepté ce défi ingrat, car la critique de ceux qui affirment avoir été témoins d’une extermination d’êtres humains dans des « chambres à gaz » à Auschwitz est considérée comme un sacrilège. Il s’agit donc d’une étude importante et novatrice qui sera sans aucun doute suivie de beaucoup d’autres.



Au sommaire : un article de Greg Johnson, responsable du site américain Counter-Currents, à propos de certains actes de terrorisme auxquels se sont livrés ou se livrent des nationalistes blancs. On pense par exemple à la tuerie de masse perpétrée par Brenton Tarrant en Nouvelle-Zélande ou aux crimes similaires de Robert Bowers et Dylann Roof aux États-Unis. L’auteur s’efforce de montrer en quoi ce terrorisme nuit au nationalisme blanc et sert les ennemis de ce dernier. L’article qui suit, également de G. Johnson, prend position contre l’accélérationnisme, qui est l’idée selon laquelle le meilleur moyen d’atteindre les objectifs du nationalisme blanc est d’accélérer le déclin du système actuel. À cet égard, l’auteur pourrait faire sienne la formule bien connue de Charles Maurras : « La politique du pire est la pire des politiques. »

Le texte suivant, de Michele Presutto, est consacré à Mario Buda, une figure assez énigmatique de l’anarchisme terroriste. Buda est notamment « l’homme qui fit exploser Wall Street » lors d’un célèbre attentat de septembre 1920 qui provoqua la mort de plus de 30 personnes et près de 200 blessés. Il ne fut jamais jugé aux États-Unis pour cette action et pour de nombreuses autres. Il termina sa vie en Italie, non sans avoir été informateur pour le compte de la police politique de Mussolini. Un destin plutôt singulier.

Dans une longue étude en trois chapitres, l’historien révisionniste Carlo Mattogno revient sur l’origine du chiffre propagandiste de quatre millions de mort à Auschwitz-Birkenau. Il examine ensuite, pour le réfuter, un ouvrage de Franciszek Piper sur la mortalité à Auschwitz. Pour finir, il s’attarde sur les révisions numériques à la baisse opérées par Jean-Claude Pressac et l’Allemand Fritjof Meyer.

Nous publions également la première partie d’une longue étude de Thomas Kues sur les « preuves de la présence de Juifs “gazés” dans les territoires orientaux occupés ». Cette étude cherche à répondre, dans la mesure du possible, à la question si souvent posée aux révisionnistes : « Si les Juifs n’ont pas été gazés, où sont-ils passés ? »

Un article nécrologique signé d’Alexander Baron clôt ce riche volume de Tabou. Il est consacré à la figure controversée de Ray Hill (1939-2022), agent prétendument infiltré dans les milieux de la droite radicale au cours des années 1980. La réalité est légèrement différente.



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