Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Moderator: Moderator

User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Postby phdnm » 5 years 10 months ago (Sat Jul 15, 2017 7:23 am)

Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide


15 juillet 2017

En livrant des milliers d'enfants juifs à l'occupant nazi, la France de Vichy s'est rendue complice d'un génocide le 16 juillet 1942, affirme l'historien Serge Klarsfeld dans un entretien à l'AFP, à la veille du 75e anniversaire de la rafle du Vel d'Hiv.

Lors d'une cérémonie organisée à l'emplacement de l'ancien Vélodrome d'hiver à Paris, va être inauguré dimanche un jardin-mémorial "portant le nom des enfants qui ont été enfermés, déportés puis assassinés à Birkenau" après avoir été arrêtés par la police française au matin du 16 juillet 1942, a expliqué Serge Klarsfeld.

Le président Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu vont assister à cette commémoration qui se déroule dans le cadre de la Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux Justes de France.

"Si j'avais pu, j'aurais fait un monument plus grand, avec les adresses où ils ont vécu, car ce sont des enfants de Paris et Paris doit honorer leur mémoire, à l'emplacement même où ils ont tellement souffert", explique l'historien, 81 ans.

Serge Klarsfeld avait six ans quand son père, arrêté à Nice en 1943, a été déporté à Auschwitz. Il a voué sa vie à écrire l'histoire de la Shoah en France ainsi qu'à poursuivre en justice les criminels nazis, aux côtés de sa femme Beate.

Les 16 et 17 juillet 1942, 13.152 hommes et femmes, dont 4.115 enfants juifs, avaient été arrêtés sur ordre du gouvernement français par plusieurs milliers de policiers et gendarmes. Les familles avaient été emmenées au Vélodrome d'hiver, les couples sans enfants et les célibataires au camp de Drancy.

Cette rafle, la plus massive jamais organisée sur le territoire français, représente à elle seule près du tiers des 42.000 Juifs envoyés de France à Auschwitz en 1942 dans le cadre du vaste plan de déportation des juifs d'Europe défini par les Allemands à la conférence de Wannsee en janvier 1942.

- 'Rempart' -

Pour Serge Klarsfeld, la rafle du Vel d'Hiv est "le crime le plus retentissant depuis la Saint-Barthélemy" antiprotestante en 1572, et se compare par son ampleur aux "journées de la Commune" de 1871, même si, dans ce cas, "les enfants n'étaient pas assassinés".

"Là, c'est un assassinat qui n'a pas eu lieu en France mais le simple fait de livrer ces milliers d'enfants à l'occupant nazi, et de les livrer en les séparant ensuite de leurs parents et en les déportant isolément dans une affreuse détresse, c'est pour la France de Vichy une complicité de crime contre l'humanité et de génocide", poursuit-il.

"Application de la Solution finale en France", cette rafle, qui commence en juillet à Paris et sa banlieue et se poursuit sur l'ensemble du territoire, ne se terminera qu'en novembre 1942.

Des cérémonies se tiendront d'ailleurs en même temps dans de nombreuses villes françaises qui ont été le théâtre de ces arrestations.

"Les Allemands ont demandé dans un premier temps 40.000 juifs donc on leur fournit le contingent demandé. Vichy aurait pu leur en fournir 100.000" mais en a été dissuadé par les protestations de la population et des Eglises, souligne M. Klarsfeld.

Pour l'historien, c'est une différence essentielle avec ce qui s'est passé aux Pays-Bas et en Belgique, où la population n'a pas joué ce rôle de "rempart". Sans cette mobilisation et l'action des nombreux Justes, le bilan aurait été plus lourd, fait-il valoir.

Au total, 76.000 Juifs, dont 11.000 enfants, ont été déportés de France. Quelque 2.500 seulement ont survécu.

Concernant le discours historique de Jacques Chirac, reconnaissant le 16 juillet 1995 la responsabilité de la France - à rebours de la thèse défendue par le général de Gaulle puis François Mitterrand selon laquelle la France était à Londres - l'ancien avocat relève que cette reconnaissance n'a plus jamais été remise en cause, soulignant une "continuité" au niveau de l'Etat.

"En 2012, François Hollande a renforcé encore la déclaration de Jacques Chirac, en disant, comme Emmanuel Macron va le faire: ce crime a été commis en France par la France".


http://www.lalibre.be/dernieres-depeche ... 5d24c5f072

Arsènelupin
Member
Member
Posts: 88
Joined: Fri Nov 21, 2008 2:21 pm

Re: Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Postby Arsènelupin » 5 years 10 months ago (Sun Jul 16, 2017 12:44 am)

Ce rappel insistant d'une responsabilité française, lâchée par Chirac en 1995 en infraction au mythe gaulliste paradoxalement défendu par Mitterrand, les négociations de la SNCF avec des parties juives américaines, l'extinction des derniers "témoins", comme des derniers gardiens, tout cela incline à penser qu'on s'achemine vers le paiement de réparations. Il va bien falloir passer à la caisse un jour, au titre des arrière-petits-enfants, ou des arrière-arrière. C'est encore le plus efficace pour entretenir la "mémoire".
Certes, la position de la France comme juge à Nuremberg, et à ce titre garante officielle du mythe, rend un peu contradictoire qu'on la range aussi du côté des condamnés, et sans doute cela freine-t-il le processus, mais pour combien de temps encore ?

User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Re: Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Postby phdnm » 5 years 10 months ago (Sun Jul 16, 2017 8:11 am)

Rafle du Vel' d'Hiv' : les non dits d'Emmanuel Macron


Le président de la République française dispose de tout pour conclure. Mais les intérêts en jeu sont trop énormes. Une petite vidéo à diffuser pour l’occasion…


User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Re: Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Postby phdnm » 10 months 3 weeks ago (Thu Jul 14, 2022 12:00 am)

Vel d'Hiv : Macron prononcera un «discours offensif» contre l'antisémitisme dimanche


13 juillet 2022

Le discours devrait durer une vingtaine de minutes sur le site de l'ancienne gare de Pithiviers (Loiret), en présence d'Élisabeth Borne. Des rescapés de la Rafle du Vel d'Hiv seront également présents.

Le président Emmanuel Macron prononcera dimanche un «discours offensif» contre l'antisémitisme et le «révisionnisme historique» lors de la commémoration du 80e anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv, a annoncé mercredi 13 juillet l'Élysée.

Il le tiendra dans l'après-midi sur le site de l'ancienne gare de Pithiviers (Loiret), second lieu de déportation en France après Drancy près de Paris, où un mémorial sera inauguré dimanche. «L'antisémitisme rôde encore et parfois de manière insidieuse et c'est très préoccupant», a déclaré un conseiller de l'Élysée. «Un nouveau type de révisionnisme historique est apparu», notamment sur le rôle du maréchal Pétain, a-t-il noté, ajoutant que le «combat» doit «de nouveau être mené».

«Banalisation de débats» autour du régime de Vichy

Après cinquante ans de silence des autorités françaises, le président Jacques Chirac avait reconnu en 1995 la responsabilité de la France dans la Rafle du Vel d'Hiv, dans un discours resté gravé dans les mémoires. «La France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable», avait-il lancé. Vingt-sept ans plus tard, «la France a changé», a relevé l'Élysée. «Hélas, la société française n'en a pas fini avec l'antisémitisme», a martelé le conseiller en rappelant les attentats visant des juifs et la «banalisation de débats» autour du régime de Vichy.

Le candidat d'extrême droite à l'élection présidentielle Eric Zemmour (Reconquête!) a notamment soutenu que le maréchal Pétain avait «sauvé» des juifs français durant la Seconde Guerre mondiale. «Le sens de cette commémoration, c'est de se dire que le combat continue et que le président Macron continuera de suivre le chemin que le président Chirac avait tracé», a dit le conseiller. «C'est un discours qui sera offensif sur le sujet compte tenu de ce que nous impose l'actualité depuis plusieurs années», a-t-il dit. Le chef de l'État va «rappeler ce qui nous menace en tant que société et ce qui nous protège aussi».

13.000 juifs arrêtés à Paris en 1942

Le discours devrait durer une vingtaine de minutes. Des rescapés de la Rafle du Vel d'Hiv seront présents. Des élus du Rassemblement national ont aussi été invités, par tradition républicaine, a détaillé l'Élysée, sans préciser s'ils seraient présents. La traditionnelle cérémonie sur le site de l'ancien Vélodrome d'Hiver, un stade de Paris, aura lieu le matin en présence de la première ministre Élisabeth Borne.

Près de 13.000 juifs, en majorité des femmes et des enfants, furent arrêtés par la police française à Paris et dans sa proche banlieue les 16 et 17 juillet 1942 et internés au Vel d'Hiv dans des conditions terribles avant d'être déportés vers des camps d'extermination. Huit convois, emportant 8400 déportés, partirent de la gare de Pithiviers.


https://www.lefigaro.fr/politique/vel-d ... e-20220713

User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Re: Vel d'Hiv: en livrant les enfants, la France complice d'un génocide

Postby phdnm » 10 months 3 weeks ago (Thu Jul 14, 2022 12:06 am)

Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler

Robert FAURISSON


Les «juifs bruns», c’est-à-dire les juifs de la collaboration avec l’Allemagne nationale-socialiste, ceux des Conseils juifs à travers toute l’Europe occupée («l’internationale juive de la collaboration»), n’auraient évidemment pas donné leur accord aux déportations s’ils avaient su que celles-ci aboutissaient à l’assassinat de leurs coreligionnaires dans des abattoirs chimiques. En France, l’Union générale des Israélites de France (UGIF) avait collaboré à la rafle du Vel’ d’hiv’. En 1947, au procès de Xavier Vallat, Mllle Libers rappelait dans quelles circonstances elle avait été engagée comme assistante par l’UGIF le 16 juillet 1942 :

Je suis venue me présenter à l’UGIF parce que, journaliste n’ayant plus d’emploi pendant la guerre, j’ai pensé qu’étant assistante sociale à l’UGIF je pourrais secourir quelques misères humaines. — Je m’y suis présentée en mai 1942. Il me fut répondu qu’en ce moment, il n’y avait pas de travail. J’attendis, et c’est le 15 juillet 1942 au soir que je reçus un pneumatique me priant de me présenter à l’UGIF le 16 juillet au matin. Le 16 juillet au matin, je me rendis à 9 heures à l’UGIF et me trouvais là devant d’autres personnes qui venaient solliciter du travail à l’UGIF. Nous assistions, à ce moment, à une véritable mise en scène, c’est-à-dire qu’on nous faisait préparer des étiquettes avec une petite ficelle, qui devaient certainement servir à être accrochées à quelque chose ou quelque part. — Le 16 juillet, dans la nuit, eurent lieu les rafles monstres de femmes et d’enfants juifs. Nous comprîmes, le 17 au matin, qu’on nous avait fait préparer ce travail parce qu’on savait déjà dès le 15 que les rafles auraient lieu [1].

La même Mlle Libers ajoute que l’UGIF pourvoyait ses assistantes sociales d’ordres de mission signés des autorités SS pour aller chercher des enfants juifs et les amener au centre Lamarck d’où ils étaient ensuite conduits à Drancy [2]. On sait que, de Drancy, certains étaient ensuite envoyés à Auschwitz.

Le camp de Drancy était, sous la surveillance des autorités allemandes et françaises, largement autogéré par les juifs [3].

Pour juger de la politique de l’État français vis-à-vis des juifs, il importe grandement d’écouter aussi la voix et les arguments de l’accusé. Le livre susmentionné sur le procès de Xavier Vallat est, à ce point de vue, d’une importance primordiale. X. Vallat replace dans la perspective historique la loi portant statut des juifs. Il rappelle qu’avant et après cette loi il a existé en France des lois contre certaines catégories de Français. Avant cette loi, à l’occasion de la séparation de l’Église et de l’État, quatre-vingt-dix mille citoyens et citoyennes français se sont vu interdire les droits de posséder, d’ester, de s’associer, d’enseigner, d’exercer des professions publiques ; leurs biens ont été confisqués et n’ont pas, comme ceux des juifs, été confiés à la Caisse des dépôts et consignations. Après cette loi, on a également pu voir cent mille citoyens et citoyennes français transformés en «morts vivants» grâce à l’ordonnance du 26 décembre 1944 créant l’indignité nationale [4].

Le produit de la vente d’un bien juif était versé, au nom du juif propriétaire, à la Caisse des dépôts et consignations où il portait intérêt ; un dixième était prélevé pour les juifs pauvres, c’est-à-dire essentiellement pour l’UGIF [5]. L’Alliance israélite était subventionnée par le maréchal Pétain et quand, à la suite d’attentats contre leurs troupes, les Allemands infligèrent aux juifs une amende d’un milliard de francs, ces derniers se tournèrent vers le maréchal Pétain pour implorer son aide. Celui-ci leur obtint un prêt d’un milliard garanti par le Syndicat des banques [6] (soit dit en passant était-ce là le comportement d’un État coupable d’antisémitisme à la manière des nationaux-socialistes ?). L’UGIF pouvait ainsi s’abstenir de taxer les juifs et de recourir à son propre argent; en fin de compte, elle ne versa aux Allemands que le quart du prêt et conserva par devers elle le reste de l’argent [7].

Après la Libération, l’affaire de la collaboration de l’UGIF avec les Allemands sera étouffée et le procès public évité. Un jury d’honneur se réunira sous la présidence de Léon Meiss, président du CRIF. Il acquittera les accusés en première instance et en appel. Les pièces du procès n’ont jamais été publiées. Personne ne sait ce que sont devenus les sept cent cinquante mille francs que s’est appropriés l’UGIF: le CRIF se les est-il, à son tour, appropriés [8] ?

Le Consistoire central des Israélites de France, fondé en 1808, quitta Paris pour Lyon en 1940 [9]. Il refusa d’abord toute représentation au sein de l’UGIF et voulut sauvegarder son indépendance et la maîtrise de ses propres fonds. Il conserva des liens privilégiés avec l’Aumônerie générale israélite et le grand rabbinat. Son président, Jacques Helbronner, entretint des rapports suivis avec le maréchal Pétain qu’il rencontra à vingt-sept reprises en un an et en qui il voyait le «père de la patrie» [10]. Il fut arrêté par les Allemands le 19 octobre 1943 pour des raisons obscures; il fut déporté et ne revint pas de déportation. Son successeur fut Léon Meiss (1896-1966) qui fonda le CRIF en 1944. Le Consistoire multiplia, bien sûr, interventions et protestations en faveur des juifs mais tint jusqu’au bout à observer une attitude légaliste qui, à bien des Français non juifs, devait valoir, pour «collaboration avec l’ennemi», l’exécution sommaire, la fusillade ou la prison. On lui attribue parfois une protestation datée du 25 août 1942 mais ce texte, que publie S. Klarsfeld dans son Mémorial de la déportation des juifs de France (d’après des documents du Centre de documentation juive contemporaine de Paris), est hautement suspect; il ne porte, en particulier, ni en-tête, ni signature; il s’agit d’un texte dactylographié anonyme et manifestement incomplet.

Les archives du Consistoire central sont actuellement soustraites à la communication pour la période postérieure à 1937. Il faudrait, semble-t-il, attendre l’an 2037 pour les voir ouvrir aux chercheurs. Elles ont été déposées aux archives des Hauts-de-Seine (à Nanterre) avec, peut-être, une copie à l’Université hébraïque de Jérusalem. Maurice Moch, archiviste du Consistoire central, aurait écrit un ouvrage sur le Consistoire central pendant les années 1939-1944 mais ce texte, truffé de documents, nous dit-on, n’a pu encore voir le jour [11].

En France comme dans tous les autres pays occupés, y compris la Pologne et la Lituanie, il s’est trouvé de nombreux juifs pour collaborer avec l’Allemagne. A la différence des autres collaborateurs, ils ont quasiment tous été dispensés de rendre des comptes à la justice de leur pays [12]. Les organisations juives en place à la Libération les ont aidés à se soustraire à cette justice. Encore aujourd’hui, elles exigent le châtiment de tous ceux qui se seraient rendus coupables d’un « crime contre l’humanité » (déportation en particulier) sauf s’il s’agit de juifs. Pourquoi ?


11 avril 1994


[Voir aussi « A propos de l’arrêt Touvier. L’affaire des "juifs bruns"», RHR n° 6, mai 1992, p. 69-82, et Ecrits révisionnistes (1974-1998), vol. III, p. 1421-1433.]


Notes

[1] Le Procès de Xavier Vallat, Paris, Editions du Conquistador, 1948, p. 366-367. Mlle Libers témoignait à charge.

[2] Id, p. 368-369.

[3] M. Rajsfus, Drancy. Un camp de concentration très ordinaire 1941-1944, Levallois-Perret, Manya, 1991.

[4] Le Procès de Xavier Vallat,, p. 90-91.

[5] Id, p. 96, 125, 257.

[6] Id., p. 131-132.

[7] P. Boukara, «French Jewish Leadership during the Holocaust», compte rendu du livre de Richard Cohen The Burden of Conscience (Bloomington, Indiana University press, 1987) in Patterns of Prejudice, périodique de l'Institute of Jewish Affairs, Londres, 1988, p. 50.

[8] Dans d'autres pays européens, les anciens responsables des Conseils juifs qui avaient collaboré avec l'Allemagne allaient bénéficier de la même indulgence (voy. Raul Hilberg, Perpetrators, Victims, Bystanders, New York, Harper Collins, 1992, p. 112-117).

[9] Ce paragraphe est repris de « A propos de l’arrêt Touvier. L’affaire des “juifs bruns” », Ecrits révisionnistes (1974-1998), vol. III, p. 1421-1433.

[10] J. Helbronner approuvait en novembre 1940 certaines mesures prises par l'État français contre les étrangers et parlait de «normal antisémitisme» (D. Peschanski, « Les statuts des juifs du 3 octobre 1940 et du 2 juin 1941 », Le Monde juif, janvier-mars 1991, p. 19).

[11] Voy. Le Monde juif, octobre-décembre 1987, p. 200.

[12] Pour une notable exception en France, voyez le cas de Joseph Joinovici.


https://robertfaurisson.blogspot.com/19 ... -avec.html


Return to “Forum Révisionniste en Français”

Who is online

Users browsing this forum: No registered users and 1 guest