Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Cette fois, c'est la victoire qu'il faut remporter
Il y a 76 ans jour-pour-jour, le 7 mai 1944, un Anglais, John Amery, donna une conférence à Paris. Fils du secrétaire d'État britannique pour les Indes, John Amery était partisan de la collaboration la plus totale avec le Reich.
Ce 7 mai 1944, il lança : « Nous sommes en face de trois conceptions, et il faudra bien que l'une des trois triomphe. La première est le communisme, avec son cortège d'esclavage, de misères et de coups de revolver dans la nuque. La seconde est la ploutocratie juive, c'est-à-dire la réaction, et la troisième enfin, celle que nous voulons, c'est le triomphe d'un national-socialisme européen. »
L'orateur était persuadé que Hitler vaincrait car, disait-il : « Je ne veux pas croire qu'une civilisation de deux mille ans puisse s'écrouler devant le Talmud et la barbarie de la steppe. »
John Amery se trompait.
Pourquoi cette civilisation de deux mille ans s'est-elle effondrée ? Parce que, dans leur immense majorité, les Européens avaient, consciemment ou non, choisi le camp ennemi. D'ailleurs, John Amery lui-même le reconnut involontairement lorsqu'il lança : « Dans cette lutte à la vie et à la mort menée pour la civilisation, l'Allemagne seule a compris la grandeur de sa mission européenne. Il n'y a donc qu'une armée allemande pour soutenir le choc à l'Est, aidée d'une poignée de révolutionnaires convaincus. » John Amery avait bien vu : l'Allemagne était isolée en Europe ; seule une « poignée de révolutionnaires convaincus » l'avait rejointe. Quant au reste de la population, une fraction s'était engagée pour les Alliés, la majorité se réfugiant dans « l'attentisme ».
On m'objectera que parmi ces « attentistes », beaucoup auraient finalement accepté la victoire du Reich. Peut-être, mais le 20 avril 1942, alors que Hitler fêtait ses 53 ans, le quotidien « L'Ouest-Éclair » prévint que « l'attentisme n'était en fait qu'un refus d'entente avec l'Allemagne – donc, un choix en faveur de ses ennemis. On se mettait un bandeau sur les yeux, on refusait de choisir entre les deux camps sans s'apercevoir que ne pas choisir, dans le cas de la France, c'était avoir déjà choisi. » (voir « L'Ouest-Éclair », 20 avril 1942, p. 1) Le journaliste avait raison : dans les moments historiques, lorsqu'il s'agit de choisir son destin, ce n'est pas une acceptation molle, purement intérieure ou privée, que la Providence attend, c'est en engagement total, franc, public.
Cet engagement, trop peu d'Européens l'ont choisi, alors qu'ils avaient tout, absolument tout, pour comprendre. C'est ce que je démontrerai dans les prochains épisodes de ma série : « Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné ». Je démontrerai que dès 1940-1941, les Européens pouvaient savoir qui, dans cette guerre, représentait la civilisation et qui représentait la barbarie.
Allant plus loin, je soulignerai ce que j'estime être les erreurs commises par ceux qui, de 1941 à 1944, ont eu l'immense mérite de s'engager. Mon objectif n'est pas de critiquer mes aînés, mais d'enseigner mes contemporains afin que les mêmes erreurs ne soient pas commises à nouveau. Car cette fois, c'est la victoire que nous devons remporter.
Vincent
Il y a 76 ans jour-pour-jour, le 7 mai 1944, un Anglais, John Amery, donna une conférence à Paris. Fils du secrétaire d'État britannique pour les Indes, John Amery était partisan de la collaboration la plus totale avec le Reich.
Ce 7 mai 1944, il lança : « Nous sommes en face de trois conceptions, et il faudra bien que l'une des trois triomphe. La première est le communisme, avec son cortège d'esclavage, de misères et de coups de revolver dans la nuque. La seconde est la ploutocratie juive, c'est-à-dire la réaction, et la troisième enfin, celle que nous voulons, c'est le triomphe d'un national-socialisme européen. »
L'orateur était persuadé que Hitler vaincrait car, disait-il : « Je ne veux pas croire qu'une civilisation de deux mille ans puisse s'écrouler devant le Talmud et la barbarie de la steppe. »
John Amery se trompait.
Pourquoi cette civilisation de deux mille ans s'est-elle effondrée ? Parce que, dans leur immense majorité, les Européens avaient, consciemment ou non, choisi le camp ennemi. D'ailleurs, John Amery lui-même le reconnut involontairement lorsqu'il lança : « Dans cette lutte à la vie et à la mort menée pour la civilisation, l'Allemagne seule a compris la grandeur de sa mission européenne. Il n'y a donc qu'une armée allemande pour soutenir le choc à l'Est, aidée d'une poignée de révolutionnaires convaincus. » John Amery avait bien vu : l'Allemagne était isolée en Europe ; seule une « poignée de révolutionnaires convaincus » l'avait rejointe. Quant au reste de la population, une fraction s'était engagée pour les Alliés, la majorité se réfugiant dans « l'attentisme ».
On m'objectera que parmi ces « attentistes », beaucoup auraient finalement accepté la victoire du Reich. Peut-être, mais le 20 avril 1942, alors que Hitler fêtait ses 53 ans, le quotidien « L'Ouest-Éclair » prévint que « l'attentisme n'était en fait qu'un refus d'entente avec l'Allemagne – donc, un choix en faveur de ses ennemis. On se mettait un bandeau sur les yeux, on refusait de choisir entre les deux camps sans s'apercevoir que ne pas choisir, dans le cas de la France, c'était avoir déjà choisi. » (voir « L'Ouest-Éclair », 20 avril 1942, p. 1) Le journaliste avait raison : dans les moments historiques, lorsqu'il s'agit de choisir son destin, ce n'est pas une acceptation molle, purement intérieure ou privée, que la Providence attend, c'est en engagement total, franc, public.
Cet engagement, trop peu d'Européens l'ont choisi, alors qu'ils avaient tout, absolument tout, pour comprendre. C'est ce que je démontrerai dans les prochains épisodes de ma série : « Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné ». Je démontrerai que dès 1940-1941, les Européens pouvaient savoir qui, dans cette guerre, représentait la civilisation et qui représentait la barbarie.
Allant plus loin, je soulignerai ce que j'estime être les erreurs commises par ceux qui, de 1941 à 1944, ont eu l'immense mérite de s'engager. Mon objectif n'est pas de critiquer mes aînés, mais d'enseigner mes contemporains afin que les mêmes erreurs ne soient pas commises à nouveau. Car cette fois, c'est la victoire que nous devons remporter.
Vincent
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
A ceux qui, le 8 mai, chantent la Marseillaise
La Marseillaise est-il un chant adapté pour commémorer le 8 mai 1945 ? La comparaison des paroles avec l'Histoire permet de répondre...
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné. 5. La race et la nation selon le national-socialisme
Dans cet épisode, Vincent Reynouard répond aux objections des nationalistes « antinazis » (« Hitler était anti-Français », « Hitler était anti-chrétien »...). Il démontre que le national-socialisme est un corpus idéologique universel. Avant même Hitler, en France, en Suisse, en Bohême... des militants se revendiquaient du « socialisme national ». Dès 1890, en Australie, un socialisme très nationaliste et raciste existait, qui participait au pouvoir et luttait pour une Australie Blanche. Par conséquent, le national-socialisme est plus large que l'hitlérisme.
Vincent Reynouard expose ensuite l'idée centrale du national-socialisme : l'existence d'un ordre naturel qui pousse l'humanité à s'élever. Puis il expose les concepts de race et de nation tels que les voit le national-socialisme. La nation est une émanation de la race, mais en retour, elle la protège. Les deux s'appuient donc dans un équilibre harmonieux.
Plan de l'épisode :
- Les objections des nationalistes antinazis
- Le national-socialisme est universel, l'hitlérisme en est une manifestation
- L'ordre naturel vu par le national-socialisme
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Ce que le destin d'Adolf Hiler m'a enseigné. 6. Le racisme positif du national-socialisme. Hitler, l' « espace vital » et les Slaves
On accuse le national-socialisme de prêcher l'anéantissement des « races inférieures », en particulier les Slaves que Hitler auraient voulu exterminer.
Dans cet épisode, Vincent Reynouard remet les pendules à l'heure : se fondant sur des documents ignorés par les historiens, il rappelle de multiples faits qui réfutent cette vision du national-socialisme. Sa conclusion est claire : « Avec son racisme bien compris, le national-socialisme ne détruit ni les peuples, ni les nations. Il les renforce au contraire les patries, en tant que conformes à l'ordre naturel et protectrices de la race. Dans ce cadre, il les transcende et regroupe à l'échelle du continent. »
Plan de l'épisode :
« Mein Kampf » ne prône aucune extermination
Hitler ne voulait pas exterminer les Slaves
National-socialisme et racisme : les faits et les voix oubliés
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Ce que le destin d'Adolf Hiler m'a enseigné. 7. Hitler et la France : de l'hostilité à la main tendue (1/3)
Dans cette partie (qui compte trois épisodes), Vincent Reynouard répond à l'argument selon lequel Hitler ayant été hostile à la France, un nationaliste français ne peut être, en même temps, partisan du national-socialisme. A l'appui de cette thèse, on cite en priorité quelques pages de Mein Kampf. Loin d'en contester le sens, Reynouard explique qu'il faut les remettre dans un contexte historique et idéologique plus large.
Plan de cet épisode :
I) L'hitlérisme est une manifestation du socialisme national
II) Pourquoi, en 1924, Hitler était hostile à la France
1°) La paix de vengeance imposée à l'Allemagne en 1919
a) 1914 : la responsabilité écrasante de la Russie dans le déclenchement de la guerre
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Comprendre l'origine réelle de l'hitlérisme
D'où vient l'hitlérisme ? Pourquoi Hitler était-il, au début, anti-Français ? Vincent Reynouard annonce quatre épisodes clés pour le comprendre.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (8)
Épisode 8 : Hitler fut la réponse de l'Allemagne à la "paix" de vengeance qui lui avait été imposée en 1919
A partir de novembre 1918, reniant leur parole, les vainqueurs emmenés par la France se fondèrent sur une propagande de guerre mensongère afin de préparer une paix de vengeance qu'ils imposeraient à l'Allemagne. Dans cet épisode, Vincent Reynouard dévoile le comportement des vainqueurs ainsi que leur propagande mensongère. Un réquisitoire terrible qui permet de comprendre les sentiment d'Hitler au début des années 20.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Une conférence de Vincent Reynouard : "Ma conception du national-socialisme"
Dimanche 31 mai, 20h00 (heure de Paris)
Dimanche prochain, à 20 heures, je donnerai une conférence privée via Internet. J'y expliquerai ma conception du national-socialisme puis je répondrai aux questions.
Seules les personnes inscrites pourront y assister.
Pour vous inscrire : https://sans-concession.ck.page/7a9de11af8
Je vous souhaite à Toutes et à Tous une agréable journée.
Vincent
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Les activistes juifs servent la cause du révisionnisme
Relatant un n-ième documentaire sur l'antijudaïsme, l'Agence Télégraphique Juive écrit : « Le plus grand bouton permettant de réduire au silence l'antisémitisme était l'Holocauste lui-même ». Dans cette vidéo, Vincent Reynouard analyse ce constat et démontre en quoi, malgré eux, ces activistes juifs servent la cause du révisionnisme.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Émeutes aux USA : l'aveu de Donald Trump
Face aux émeutes, le président Trump a intimé aux Gouverneurs de déployer les forces nécessaires de l'ordre afin de faire cesser les violences. En cas d'échec, il a promis d'envoyer l'armée. Le Président américain a justifié ainsi sa décision : « Détruire des vies innocentes et répandre du sang innocent est une offense à l'humanité et un crime contre Dieu. »
Dans cette vidéo, Reynouard analyse la portée historique immense de cet aveu... C'est tout l'Histoire du XXe siècle qui est remise en question, avec ses enseignements.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Pourquoi je suis national-socialiste
Dans cette conférence donnée le 31 mai 2020, Vincent Reynouard explique en quoi le national-socialisme reste aujourd'hui l'espoir du monde. Sa force réside dans le principe central sur lequel il s'appuie : la primauté du Bien commun sur les biens particuliers. Reynouard explique comment ce principe a permis à Hitler de relever son pays et comment il pourrait être appliqué aujourd'hui. Il répond ensuite aux antinazis qui invoquent les « libertés individuelles » contre ce qu'ils croient être une « dictature ». Reynouard démontre que la notion moderne de « liberté » est contradictoire. La vrai liberté, Hitler l'avait compris, consiste à servir la communauté. Il répond enfin aux catholiques qui, pour des raisons diverses, rejettent le national-socialisme.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Hitler et la France : de l'hostilité à la main tendue (3/6)
Dans cet épisode, Reynouard expose le calomnies honteuses de la propagande française à l'encontre de l'Allemagne dans les années 1915-1919. Ces calomnies n'étaient pas gratuites : elles allaient servir à fonder la « paix » de vengeance imposée en 1919.
Cet exposé permet de comprendre pourquoi, dans les années 20, Hitler était anti-Français.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Chères Amies, Cher Amis,
Aujourd'hui, les autorités françaises commémoreront le 76ème anniversaire du drame d'Oradour.
A cette occasion, je posterai un documentaire d'une cinquantaine de minutes dont j'espère terminer aujourd'hui la réalisation. Son titre: "Oradour : à quand la vérité ?"
Je consacrerai les vacances d'été à la réédition de mon ouvrage sur le même sujet.
Voici le plan du documentaire à paraître bientôt :
I. Un président de la République « révisionniste » sur Oradour
II. Incapables de me répondre sur le fond, les gardiens de la Mémoire s'acharnent à me faire taire
- 1997 : pris de panique, les gardiens de la Mémoire font interdire mon livre
- Une interdiction annulée car contraire aux Droits de l'Homme
- 2001 : les persécutions judiciaires commencent
- Ma cassette vidéo interdite « dans l'urgence »
III. Chargée de me faire taire, la Justice me traite comme un criminel
- Perquisitions, saisies, analyses d'ADN et placement sous contrôle judiciaire
- Apologie ou négation ? Les autorités judiciaires en pleine contradiction
- Ma cassette vidéo interdite sur tout le territoire national en vertu d'une loi réprimant les... infractions sexuelles
IV. La Justice entame puis esquive le débat historique
- La juge d'instruction veut aborder l'aspect historique du drame d'Oradour
- La juge d'instruction clôt subitement l'enquête et me revoie devant le tribunal
- Le Président du tribunal m'empêche d'aborder l'aspect historique du dossier
- L'explosion inattendue de l'église : cause immédiate (et occultée) du drame
V. Un « témoignage central » et des « aveux » qui ne prouvent rien
- 1953 : la France organise un procès truqué contre les « bourreaux d'Oradour »
- Des accusés réduits à « avouer » pour protéger les leurs et dans l'espoir d'un traitement de faveur
VI. Oradour : nécessité d'établir la matérialité des faits
- Juin-novembre 1944 : une thèse officielle bâtie laborieusement
- Une thèse qui ne résiste pas à l'analyse matérielle
- Église d'Oradour : des destructions que les Waffen SS n'auraient pu provoquer
- Une « caisse » retrouvée par les sauveteurs dans l'église mais qui disparaît mystérieusement
- Des prévenus qui « avouent » ce qu'on attend d'eux
- Oradour et le maquis : la vérité apparaît
- La thèse allemande ne peut plus être balayée d'un revers de la manche
Conclusion : pour une véritable réconciliation fondée sur la vérité historique
Aujourd'hui, les autorités françaises commémoreront le 76ème anniversaire du drame d'Oradour.
A cette occasion, je posterai un documentaire d'une cinquantaine de minutes dont j'espère terminer aujourd'hui la réalisation. Son titre: "Oradour : à quand la vérité ?"
Je consacrerai les vacances d'été à la réédition de mon ouvrage sur le même sujet.
Voici le plan du documentaire à paraître bientôt :
I. Un président de la République « révisionniste » sur Oradour
II. Incapables de me répondre sur le fond, les gardiens de la Mémoire s'acharnent à me faire taire
- 1997 : pris de panique, les gardiens de la Mémoire font interdire mon livre
- Une interdiction annulée car contraire aux Droits de l'Homme
- 2001 : les persécutions judiciaires commencent
- Ma cassette vidéo interdite « dans l'urgence »
III. Chargée de me faire taire, la Justice me traite comme un criminel
- Perquisitions, saisies, analyses d'ADN et placement sous contrôle judiciaire
- Apologie ou négation ? Les autorités judiciaires en pleine contradiction
- Ma cassette vidéo interdite sur tout le territoire national en vertu d'une loi réprimant les... infractions sexuelles
IV. La Justice entame puis esquive le débat historique
- La juge d'instruction veut aborder l'aspect historique du drame d'Oradour
- La juge d'instruction clôt subitement l'enquête et me revoie devant le tribunal
- Le Président du tribunal m'empêche d'aborder l'aspect historique du dossier
- L'explosion inattendue de l'église : cause immédiate (et occultée) du drame
V. Un « témoignage central » et des « aveux » qui ne prouvent rien
- 1953 : la France organise un procès truqué contre les « bourreaux d'Oradour »
- Des accusés réduits à « avouer » pour protéger les leurs et dans l'espoir d'un traitement de faveur
VI. Oradour : nécessité d'établir la matérialité des faits
- Juin-novembre 1944 : une thèse officielle bâtie laborieusement
- Une thèse qui ne résiste pas à l'analyse matérielle
- Église d'Oradour : des destructions que les Waffen SS n'auraient pu provoquer
- Une « caisse » retrouvée par les sauveteurs dans l'église mais qui disparaît mystérieusement
- Des prévenus qui « avouent » ce qu'on attend d'eux
- Oradour et le maquis : la vérité apparaît
- La thèse allemande ne peut plus être balayée d'un revers de la manche
Conclusion : pour une véritable réconciliation fondée sur la vérité historique
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Du 19 au 23 juin, une semaine spéciale « vérité sur Oradour »
A partir de demain et pendant cinq jours, je diffuserai les 5 épisodes d'une série de plus d'une heure intitulée : « Oradour, à quand la vérité ? »... Cette courte vidéo l'annonce et annonce ma conférence le samedi 20 juin sur le sujet.
Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible
Oradour, à quand la vérité ? (1/5)
Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d'Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l'église.
Cette tragédie s'est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.
Sans nier ni les morts, ni l'horreur, ni la douleur des familles, l'histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s'est-il passé dans l'église vers 16 heures ert qui a tout déclenché ?
Dans cette série en cinq épisodes, Vincent Reynouard apporte une réponse à ces questions.
Plan du premier épisode :
I. Un président de la République « révisionniste » sur Oradour
II. Incapables de me répondre sur le fond, les gardiens de la Mémoire orchestrent la répression
- 1997 : pris de panique, les gardiens de la Mémoire font interdire mon livre
- Une interdiction annulée car contraire aux Droits de l'Homme
- 2001 : les persécutions judiciaires commencent
- Ma cassette vidéo interdite « dans l'urgence »
- Perquisitions, saisies, analyses d'ADN et placement sous contrôle judiciaire
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