Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

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Coronavirus : un vaccin pour tous

A l'heure du confinement en France, un message utile, un message d'espoir. A diffuser largement.

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La Shoarnaque (5-7) : 1916-1943, d'une guerre à l'autre, toujours les mêmes rumeurs macabres

Les historiens l'affirment : depuis 1942, « tout le monde savait » que les Juifs déportés vers l'Est étaient exterminés. Cet argument permet, entre autres, d'accuser le gouvernement de Vichy d'avoir été complice de la « Solution finale ». Dans cet épisode, Reynouard démontre qu'en effet, dès le début, les dirigeants alliés savaient... que ces histoires de massacres de masse étaient de vulgaires rumeurs qui avaient déjà circulé pendant la première guerre mondiale. Ce sont les Soviétiques qui, à partir de 1943, les reprirent à leur compte et les exploitèrent pour leur propagande vengeresse.

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La Shoarnaque (6.1) : 1943-1944, rumeurs et mensonges autour des « chambres à gaz »

Dans cet épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi, fin août 1943, les dirigeants alliés refusèrent de mentionner les « chambres à gaz » dans leur déclaration commune qui dénonçait les « crimes nazis ». Il explique aussi pourquoi, dans les semaines qui suivirent la libération de Majdanek, les Soviétiques se firent très discrets sur les « chambres à gaz ». Leur propagande exploita l'existence des fours crématoires, allant même jusqu'à opérer une confusion entre crémation (bien réelle) et gazage (prétendu). Les dirigeants alliés savaient en effet à quoi s'en tenir à propos de ces « chambres à gaz »...

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La Shoarnaque (6.2) : 1945, face au démenti de Berlin, les vainqueurs se trahissent

1945 : face à la déferlante d'accusations proférées contre l'Allemagne hitlérienne, Berlin réagit : début avril, Radio-Berlin souligne que les « chambres à gaz » décrites par la propagande alliée comme des locaux de mort sont en réalité des installations sanitaires.

Si ce démenti avait été faux, alors les Alliés auraient eu tout le loisir de le démontrer :

- les Anglo-américains en produisant les photos aériennes d'Auschwitz que leurs avions de reconnaissance prenaient depuis 1944 ;
- les Soviétiques en produisant l'expertise des « chambres à gaz » qu'il avaient fait faire en juin 1945.

Mais à Nuremberg, les uns et les autres se gardèrent bien de produire ces documents.

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La Shoarnaque (6.3) : Auschwitz, la chimie dément la thèse officielle (1)

Chimiste de formation, Vincent Reynouard explique pourquoi une étude chimique d'Auschwitz dément la thèse officielle de l'existence des « chambres à gaz ». L'auteur a profité de la tranquillité dont il bénéficie en Angleterre pour reprendre le problème à zéro, posément... Il en résulte un étude très technique mais nécessaire pour confirmer la pertinence du révisionnisme.

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La Shoarnaque (6.4) : Auschwitz, la chimie dément la thèse officielle (2)

S'appuyant sur divers travaux antérieurs, Vincent Reynouard poursuit son expertise chimique du camp d'Auschwitz. Il critique les arguments avancés par les gardiens de la thèse officielle.

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Contre Dieudonné, Soral et le Covid-19, la même stratégie du confinement

La Haute autorité à la Lutte contre les Discriminations en France (HALDF) dévoile un document secret du Gouvernement français qui met au point une stratégie de lutte contre le « phénomène Dieudonné ». On constate de fortes ressemblances avec la lutte contre le Covid-19...

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La Shoarnaque (7) :Conclusion

Dans ce dernier épisode, Vincent Reynouard achève de démontrer que les éléments matériels démentent la thèse de l'existence des « chambres à gaz » homicides. Puis il explique qu'en 1945, pour étayer leur propagande qu'ils savaient mensongère, les vainqueurs capturèrent le premier commandant d'Auschwitz afin de lui extorquer de faux « aveux ». L'histoire officielle s'est forgée sur ces « aveux »...

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Remerciements et projets

2 avril 2020

Je viens de terminer ma série la Shoarnaque. Les deux épisodes supplémentaires sur les Einsatzgruppen paraîtront un peu plus tard. Je remercie celles et ceux qui, par leur soutien, m'ont permis de réaliser ce projet. Soutien financier d'abord, car réaliser une telle série n'est pas gratuit.

Par exemple, les quelques images que vous avez pu voir dans le dernier épisode (voir illustration 1) m'ont coûté 180 dollars. Parce qu'elles sont issues d'un film qu'on ne trouve à l'état original que dans des archives payantes.

S'y ajoutent les ouvrages qu'il faut se procurer pour les avoir dans des versions complètes et en bonne qualité. Ce livre de 1934, par exemple, dont j'ai extrait quelques photos, m'a coûté 200 euros (voir illustration 2).

Tout cela sans compter les heures passées dans les archives à chercher, à lire, à collecter, à comparer... Sans votre soutien financier, ce travail serait impossible. Merci, donc, aux Internautes qui m'ont financé. Mais je n'oublie pas celles et ceux qui m'épaulent d'une façon ou d'une autre : envoi de documents, de liens, de messages amicaux... Qu'ils soient remerciés. Le jour où le révisionnisme triomphera, sa victoire sera aussi votre victoire.

Mon prochain grand projet est désormais la réédition revue et augmentée de mon ouvrage sur Oradour-sur-Glane. Je serai donc moins présent sur le Net, mais je continuerai tout de même à publier des vidéos que des sujets divers, toujours en lien avec mon combat.

Merci encore.

Vincent

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Le coronavirus, moins meurtrier que bombardiers anglo-américains

Le cliché ci-dessous n'a pas été pris ce 11 avril 2020 ; il ne montre pas des victimes de l'actuelle pandémie. Non, il a été pris le 11 avril 1944, quelque part en région parisienne. La veille et l'avant-veille, lors de ce qui fut appelé la "Pâques sanglante", les bombardiers anglo-américains avaient frappé la France. A Lille, on déplora plus de 400 morts ; dans la région parisienne, environ 180 ; sans compter les bilans moins lourds ici et là...

Gageons qu'en cette Pâques 2020, en France, le Covid-19 sera bien moins meurtrier que les bombardiers-anglo-américains de 1944.

Sur ces bombardements, on pourra consulter ces deux articles et cette vidéo que j'ai déjà publiés :

- "Une morte-vivante raconte les bombardements alliés" :

https://blogue-sc.com/2018/06/une-morte-vivante-raconte-les-bombardements-allies

- "Les orphelins des bombardements alliés, adoptés par les travailleurs français en Allemagne" :

https://blogue-sc.com/2018/06/les-orphelins-des-bombardements-allies-adoptes-par-les-travailleurs-francais-en-allemagne

- "Du mariage royal (2018) à la « Pentecôte sanglante » (1944)" :

https://blogue-sc.com/2018/05/du-mariage-royal-2018-a-la-pentecote-sanglante-1944

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Un révisionniste doit rester prudent et objectif sur tous les sujets

Certains Internautes reprochent à Vincent Reynouard ses positions dans la « pandémie » liée au Covid-19. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard explique qu'il ne fait que mettre en pratique les enseignements du professeur Faurisson...

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Ce que le destin d 'Adolf Hitler m'a appris (1/5)

Dans ce premier épisode, Vincent Reynouard s'appuie sur « Mein Kampf » pour expliquer pourquoi il est national-socialiste. Il souligne que le national-socialisme n'est d'aucun pays : né en France au début du XXe siècle, appliqué en Allemagne, ses piliers (primauté du Bien commun, nationalisme, racisme) sont universels.

Vincent Reynouard en vient ensuite à la question juive. Se référant à un précédent historique et à des travaux d'antijuifs, il explique pourquoi, bien que national-socialiste et conscient qu'Hitler avait de bonnes raisons de combattre les Juifs, il reste pour sa part « judéo-indifférent ».

Plan de ce premier épisode :

A) Sur les Juifs : un constat capital d'Adolf Hitler
1°) Le pilier central du national-socialisme
2°) Le national-socialisme rejette l'oppression comme système de gouvernement
3°) National-socialiste, je ne veux ni molester, ni tuer quiconque
4°) Le constat capital de Hitler sur les méthodes juives
5°) Antijudaïsme : le message du créateur du Prix International Robert Faurisson

B) L'Europe : un corps affaibli donc cible de tous les agents pathogènes, juifs ou autres
1°) L'exemple du roi Philippe le Bel qui chasse les Juifs en 1306 puis 1311
2°) Le constat désabusé d'un prêtre antijuif en 1896
3°) La conclusion d'un antijuif à la même époque

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (2)

Dans ce deuxième épisode, Vincent Reynouard rappelle que dès 1940, les peuples européens furent libérés de l'emprise juive. Par conséquent, l'Europe avait tous les atouts pour prendre le bon partie, c'est-à-dire celui du IIIe Reich. Et en effet, dans de nombreux pays, dont la France, un esprit communautaire surgit, démontrant une évolution des mentalités. Mais cette évolution concernait-elle la majorité ? Réponse au prochain épisode...

Plan de l'épisode :

C) Les deux raisons profondes de la défaite du IIIe Reich
I°) Première raison : l'Europe n'a pas suffisamment suivi
1°) A partir de 1940, de nombreux peuples d'Europe furent débarrassés de la propagande juive
2°) Malgré cette libération, l'Europe reste globalement endormie
3°) Dès 1940, l'Europe pouvait prendre le bon parti, celui du IIIe Reich
4°) L'exemple flagrant de la France
a) Ces Français patriotes qui voient clair et qui s'engagent
b) L'esprit communautaire surgit

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné. 3 : L'Europe unie et prospère que le Reich proposait

Dans cet épisode, Vincent Reynouard répond à l'argument selon lequel le peuple français avait raison de se dresser contre l'Occupant, soit par la Résistance, soit par l'attentisme. Il rappelle tous les appels de l'Allemagne pour une collaboration sincère, sur pied d'égalité, ainsi que tous ses gestes pour la construction, une fois la paix retrouvée, d'une Europe unie, où les cultures et les traditions nationales seraient conservées afin de parvenir à une amélioration générale de la qualité de la vie.

Plan de l'épisode :

c) Mais une majorité se réfugie dans « l'attentisme pourrissant »
d) Les gestes de l'Allemagne envers la France et les initiatives du Gouvernement français

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (4) : Hitler était-il un pion aux mains des Juifs et de la Haute-Finance ?

Dans certains milieux nationalistes, on affirme qu'Hitler a été porté au pouvoir par Wall Street et que son projet d'Europe unie était une préfiguration du mondialisme. Dans cet épisode, Vincent Reynouard répond à ces deux accusations.