Bal des quenelles 2014 - Robert Faurisson - 21 juin 2014

Moderator: Moderator

User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Bal des quenelles 2014 - Robert Faurisson - 21 juin 2014

Postby phdnm » 8 years 11 months ago (Sun Jun 29, 2014 3:47 am)

Last edited by phdnm on Sun Aug 03, 2014 1:49 am, edited 1 time in total.

User avatar
phdnm
Valuable asset
Valuable asset
Posts: 4533
Joined: Tue Jun 05, 2012 12:11 pm

Re: Bal des quenelles 2014 - Robert Faurisson - 21 juin 2014

Postby phdnm » 8 years 11 months ago (Sun Jun 29, 2014 10:22 am)




Il faut chercher les boîtes noires de « l’Holocauste » et en examiner le contenu



Ce type de recherche ou d’activité révisionniste n’est pas sans risque. Pour se lancer et surtout pour se maintenir dans l’action révisionniste, il faut avoir le cœur bien accroché. Elie Wiesel et ses amis montent bonne garde autour des boîtes noires de « l’Holocauste » : pas question pour nous d’en approcher afin de voir ce qu’elles contiennent. Personnellement, j’ai eu un jour la chance de découvrir et d’ouvrir un instant la boîte noire d’Auschwitz et de Birkenau au Musée d’Etat d’Auschwitz. Cela s’est passé en deux temps. En 1975, lors de mon premier examen des lieux du « crime », j’avais détecté de franches anomalies dans ce qu’on nous présentait comme étant un crématoire « en état d’origine » (le Krema I à Auschwitz I) ou des crématoires en ruines (les Krema II et III ainsi que IV et V à Birkenau ou Auschwitz II).


J’avais alors contraint un haut responsable du Musée d’Etat à reconnaître que le Krema I avait été « reconstruit », alors que le public croyait avoir affaire à un crématoire authentique conservé dans son état d’origine. Je lui avais fait constater l’absence de suie à la bouche d’un four crématoire, qu’il me garantissait « d’origine » ; il m’avait alors dit que ledit four était en réalité une « reconstruction » ; sur quoi je lui avais fait admettre que cette « reconstruction » impliquait nécessairement la connaissance et donc l’existence de plans d’origine. Je lui ai demandé où étaient ces plans. Non sans embarras il m’a avoué qu’ils se trouvaient au service des Archives du camp. Obligé de regagner la France, je remettais à l’année suivante ma visite aux Archives.


Je passerai ici sur les détails des difficultés rencontrées alors, et j’en arrive tout de suite à la conclusion : le 19 mars 1976 je découvrais dans les archives du Musée d’Etat les plans des crématoires d’Auschwitz et de Birkenau censés avoir contenu des « chambres à gaz » homicides. Ces plans, on nous les avait cachés depuis 1945 (voy. mon écrit « Retour sur ma découverte, le 19 mars 1976, des plans des crématoires d’Auschwitz et de Birkenau » : http://robertfaurisson.blogspot.com/2010/09/retour-sur-ma-decouverte-le-19-mars_14.html). Et pour cause puisqu’ils révélaient le pot aux roses.


Dans le Krema I, la pièce qu’on prétendait avoir été une « chambre à gaz » homicide n’avait été, en réalité, qu’une « Leichenhalle », c’est-à-dire un inoffensif dépositoire fait pour y mettre les cadavres en attente de crémation. Les grands Krema II et III de Birkenau n’avaient possédé que des « Leichenkeller », c’est-à-dire des dépositoires construits en partie sous terre afin de leur assurer à l’intérieur une fraîcheur relative. Les Krema IV et V, également situés à Birkenau, ne possédaient que des pièces inoffensives dont certaines étaient équipées de poêles et n’auraient donc jamais pu servir de « chambres à gaz ».


Au terme d’études prolongées portant successivement sur le Zyklon B (à base d’acide cyanhydrique, le produit a été inventé en 1922 par un assistant du chimiste juif allemand Fritz Haber ; le brevet d’invention date du 27 décembre 1926), sur les chambres à gaz de désinfection ou d’épouillage, et surtout sur les chambres à gaz américaines d’exécution (au gaz cyanhydrique) je concluais que les « témoignages » ou « aveux » portant sur l’exécution systématique des juifs en « chambres à gaz » se heurtaient à de radicales impossibilités physiques et chimiques. Encore aujourd’hui je reste étonné par le fait que les Etats-Unis, abreuvés de littérature holocaustique mais possédant tant d’hommes de science, tant de chimistes et d’ingénieurs, n’aient eu personne pour procéder à une comparaison entre les « chambres à gaz » nazies, passablement vagues, et la réalité facilement vérifiable (au moins jusqu’à une époque récente) des chambres à gaz américaines.


Il suffit de voir une chambre à gaz américaine pour se rendre instantanément compte que les « chambres à gaz » nazies sont une pure création de l’esprit. Une véritable chambre à gaz américaine pour l’exécution d’une seule personne est nécessairement d’une effroyable complication car il ne faut pas que le gazeur se gaze lui-même 1) soit pendant l’exécution, 2) soit pendant la ventilation, 3) soit au moment de pénétrer dans le local pour y manipuler et extraire un cadavre hautement cyanuré et qui, de ce fait, reste hautement dangereux.


Je répète qu’il suffit même à un profane de voir de près une chambre à gaz de pénitencier américain et de s’en faire expliquer le fonctionnement pour comprendre que non seulement les « chambres à gaz » nazies n’ont pas existé mais aussi qu’elles n’ont pas même pu exister.


Pour ma part, en 1979, j’avais vu et étudié la chambre à gaz de Baltimore (Maryland). C’est aussi en 1979, à Los Angeles, lors de la première conférence internationale de l’Institute for Historical Review, que j’avais pu rendre publique avec ces plans ma découverte de la boîte noire d’Auschwitz et de Birkenau. « C’est de la dynamite ! », avait jugé une participante.


Return to “Forum Révisionniste en Français”

Who is online

Users browsing this forum: No registered users and 5 guests