1943 : un rapport de la Fondation Carnegie a confirmé que 1,6 million de Juifs ont été déplacés d’Europe de l’Est derrière les lignes soviétiques
25 janvier 2022
Selon un rapport de 1943 intitulé « International Conciliation : Commission To Study The Organization Of Peace » publié par la Carnegie Peace Foundation, sur quelque 1 750 000 Juifs qui ont réussi à fuir l’Axe depuis le début des hostilités, environ 1 600 000 ont été évacués par le gouvernement soviétique de la Pologne orientale et ont ensuite occupé le territoire soviétique... Environ 150 000 autres ont réussi à atteindre la Palestine, les États-Unis et d’autres pays au-delà des mers. (Avril 1943, n° 389, cité dans « The Fraud of Soviet Anti-Semitism » par Herbert Aptheker, p. 6, 1962)
On pourrait penser que les organisations juives du monde entier seraient ravies de découvrir qu’au moins un tiers des 6 millions de Juifs présumés « assassinés » par les « nazis » ont en fait survécu à la guerre et ont été officiellement comptabilisés – protégés en toute sécurité derrière les lignes soviétiques, loin de la portée de la machine à assassiner assoiffée de sang, aux yeux bleus et aux cheveux blonds.
Un autre tiers des victimes de l’Holocauste a été comptabilisé lorsque le musée d’Auschwitz a discrètement abaissé le nombre officiel de Juifs tués de 4 millions à 1,2 million en 1990.
Malheureusement, il n’y a aucune trace d’aucune organisation juive – en particulier les organisations qui défendent les « survivants » de l’Holocauste – de la reconnaissance de ce rapport officiel de la prestigieuse Carnegie Peace Foundation.
Il n’y a pas non plus de trace d'« historiens » de l’Holocauste tentant de réfuter les conclusions de ce rapport Carnegie – ce à quoi on pourrait s’attendre s’ils avaient l’intention d’insister sur leur total apparemment non négociable de 6 millions.
Ce que ce silence confirme pour nous, c’est que la cabale d’élite qui contrôle la communauté juive mondiale veut que tous les Juifs croient en ce nombre de morts magique de 6 millions de victimes, chiffre défiant les mathématiques – nonobstant les montagnes de preuves présumées, utiles pour justifier l’intention persistante des « goyim » de les tuer pour le seul motif qu’ils sont juifs.
Peut-être que les « historiens » de l’Holocauste peuvent maintenant commencer à comprendre pourquoi il y a un « manque total de preuves physiques » – selon leurs propres experts – pour prouver que l’Holocauste a réellement eu lieu.
Fait intéressant, seulement quatre mois après la publication de ce rapport de la Fondation Carnegie en avril 1943, la presse juive a publié un article en août expliquant à ses lecteurs pourquoi, après la fin de la guerre, il n’y aurait pas de fosses communes pour rendre compte de tous les Juifs « assassinés » qu’ils avaient l’intention de revendiquer.
En utilisant le rasoir d’Occam – l’explication la plus simple est généralement la vérité – nous pouvons supposer en toute sécurité qu’il n’y aurait en effet aucune preuve « médico-légale » – c’est-à-dire des preuves recevables par les tribunaux – pour la mort de ces deux millions de Juifs simplement parce qu’ils n’ont pas été tués par les Allemands – ils ont survécu à la guerre derrière le front en Union soviétique.
Et beaucoup de ceux qui ne se sont pas réfugiés en Union soviétique – et qui ont « miraculeusement » échappé aux chambres à gaz – furent transportés en Palestine après la guerre.
https://christiansfortruth.com/1943-car ... iet-lines/
[COMMENTAIRE]
La « sécurité » en Union soviétique a toujours été très relative… Béria déporta en Sibérie et dans le Nord de la Russie 880 000 de ces réfugiés en provenance de la zone occupée dès 1939 par l’Armée rouge en Pologne, dont 30 % étaient des Juifs. Concernant le sort de ces derniers, voilà ce que rapporte Abba Eban, historien juif et ancien ministre des Affaires étrangères d'Israël.
« En 1939-1940, la Russie déporta 350 000 juifs polonais, incorporés lors du dépeçage de la Pologne, dans les régions inhospitalières de la frontière iranienne. La plupart allaient mourir de faim et de froid. » Abba Eban, Mon Peuple, [Histoire du Peuple juif], Tome 1, Ed. Buchet-Chastel, 1975, p. 312.
BOCAGE INFO - Dépêche No 036/2022