Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 8 months 1 week ago (Wed Sep 28, 2022 11:45 pm)

Réviser l'Histoire pour rebâtir l'Europe (Ép. 22)


Pourquoi Hitler décida d'envahir l'URSS

Le 21 juin 1941, Hitler lança ses troupes à l'assaut de l'URSS. Aujourd'hui encore, cette attaque est présentée comme la conséquence logique de la doctrine de "l'espace vital" prêchée dans "Mein Kampf". Hitler avait écrit: "nous autres nationaux-socialistes (...) nous jetons nos regards sur l'Est (…) et nous inaugurons la politique territoriale de l'avenir. Mais si nous parlons aujourd'hui de nouvelles terres en Europe, nous ne saurions penser d'abord qu'à la Russie et aux pays limitrophes qui en dépendent." (p. 652-653)

Voilà pourquoi à Nuremberg, l'Accusation soviétique prétendit que "les buts de la guerre contre l'URSS étaient la conquête de territoires soviétiques". Mais Hermann Göring le nia absolument : "ce point, dit-il, ne fut jamais discuté avant le début de la guerre." Puis il expliqua : "Le Führer avait vu dans l'attitude de la Russie, dans le rassemblement de ses forces à nos frontières, un danger mortel pour l'Allemagne, et il voulait éliminer cette menace. Il estimait que c'était son devoir. Ce qui aurait eu lieu après une guerre victorieuse était une autre question qui, à ce moment-là, n'entrait pas en ligne de compte."

À l'époque, la presse collaborationniste avait en effet présenté l'invasion de l'URSS comme la riposte à une menace soviétique.

Propagande mensongère? Dans cette vidéo, Vincent Reynouard répond. Avec lui, vous suivrez l'enchaînement des événements qui, d'octobre 1939 à avril 1941, convainquirent Hitler d'ordonner une guerre préventive à l'Est.

Vous découvrirez que durant cette période, loin de vivre dans une ivresse de la victoire, Hitler sut au contraire que les dangers menaçant le Reich étaient très graves... Voilà pourquoi fin mars 1941, après le coup d'État en Yougoslavie (un coup d'État téléguidé par Moscou et financé par Londres) et la parution du livre du juif Kaufman "L'Allemagne doit périr", il choisit de jouer le tout pour le tout en attaquant à l'Est. Plus tard, Göring résuma: "Le Führer faisait le calcul suivant : avant que l'Amérique en ait fini avec ses armements et la mobilisation de son Armée, il aurait brisé l'avance russe par une attaque subite et aurait écrasé les troupes russes à tel point qu'elles ne représenteraient plus qu'un danger insignifiant en cas de lutte contre les Anglo-américains sur le continent."

Plan de l'exposé :

Le jeu machiavélique de Staline
Octobre 1939: les démocraties ayant repoussé les offres de paix hitlériennes, Moscou avance ses pions
Juin-juillet 1940: face à l'URSS qui conquiert de nouvelles positions, Hitler s'inquiète et offre la paix à l'Angleterre
Hitler est convaincu qu'en coulisse, Moscou s'entend avec Londres
Été-automne 1940: Berlin reçoit des informations sur les visées agressives de l'Union soviétique. Hitler n'ose pas envahir l'Angleterre et tente d'autres voies
Novembre-décembre 1940 : convaincu des intentions agressives de Moscou, Hitler demande à l'armée de préparer un plan d'attaque
Printemps 1941: Hitler reste dans l'expectative et espère encore finir la guerre en battant l'Angleterre
Fin mars 1941: le coup d'État en Yougoslavie décide Hitler à attaquer préventivement l'URSS
Printemps-été 1941 : les préparatifs soviétiques et l'ouvrage du juif Kaufman renforcent Hitler dans sa conviction que l'internationale juive a manœuvré à Moscou et à Washington


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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 8 months 1 week ago (Fri Sep 30, 2022 8:12 am)

Esclave du révisionnisme: quelle joie!


Le prochain volet de ma série sera consacré aux Einsatzgruppen, ces "groupements spéciaux" qui, à l'Est, auraient fusillé entre 1,2 et 2 millions de Juifs.

J'aborde désormais l'Holocauste auquel je consacrerai une dizaine d'épisodes.

Au total, ma série en comptera donc plus de trente, alors qu'au départ, j'en prévoyais dix-neuf. Pourquoi cette inflation? Parce qu'avant de réaliser un épisode, je retravaille le script afin de l'améliorer.

En effet, dans ma situation présente, je dispose de toutes mes journées pour travailler. Pour l'heure, je vis chez une personne qui, contre 250 £ par mois et la promesse de tout laisser propre, m'autorise à occuper une petite chambre (12 m²), à utiliser la cuisine, la salle de bain, la machine à laver le linge et me fait bénéficier de sa connexion Internet. Bref, outre mon "loyer", je dois juste payer ma nourriture et mes divertissements. Mais si j'excepte ma promenade quotidienne à vélo et la lecture, je ne me divertis pas. Je travaille pour le révisionnisme. J'ajoute que pour l'heure, ma boutique ne pouvant rouvrir faute de plate-forme de paiement (je suis en conversation avec une plate-forme américaine, mais cela avance lentement), je travaille gratuitement... Autrement dit: je suis esclave de la cause révisionniste francophone.

Cette situation, je la dois à mes adversaires qui ont agi pour me priver de deux comptes bancaires, de mes comptes PayPal et Patreon, de toutes les plates-formes de paiement que la boutique utilisait et, enfin, de mes cours particuliers (en lançant les autorités britanniques contre moi).

Mais loin de baisser les bras, j'en suis au contraire satisfait: car cette situation m'a permis de rédiger mon nouveau livre sur Oradour (attendu depuis plus de quinze ans) et désormais, elle me permet de travailler sur cette synthèse révisionniste que je n'avais jamais réalisée, étant trop dispersé. La Providence a donc utilisé mes adversaires pour me faire accomplir ma mission. Voilà pourquoi je ne perds mon temps ni en récriminations ni en injures. Au regard de l'éternité, les épreuves sont bénéfiques et les adversaires sont des alliés. Dès lors, face à une épreuve, il ne faut pas chercher l'agent extérieur qui nous l'inflige, il faut trouver ce que cette épreuve nous invite à dépasser en nous-mêmes.

Telle est la grande leçon que la Vie m'a apprise. Je ne demande à personne d'être d'accord avec moi. Je dis simplement qu'ayant appris cette leçon, je ne désespère pas et ne me consume pas dans la haine: je persévère au contraire et j'accomplis un travail utile, sans me soucier de l'avenir.

À bientôt, donc, avec les épisodes sur le prétendu "Holocauste".

Je vous souhaite une agréable journée,

Vincent

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 8 months 1 week ago (Sun Oct 02, 2022 11:48 am)

Présentation de mon film sur la "Shoah par balles"


Je termine le script de l'épisode sur les Einsatzgruppen qui, en URSS, auraient massacré entre 1,5 et 2 millions de Juifs.

Bénéficiant de toutes mes journées, j'ai pu retrouver les textes que j'avais déjà publiés sur les sujets.

C'est en effet une conséquence souvent méconnue de la répression qui frappe: ignorant si, demain, une descente de Police ne viendra pas tout arrêter, je n'ai cessé de travailler dans l'urgence, souvent dans le plus grand désordre. Lorsqu'en 2011, à ma sortie de prison, j'ai continué à militer activement, j'ai su qu'un jour ou l'autre, les autorités "ne me rateraient pas".

Après trois ans de calme relatif (je devais tout de même pointer au commissariat où, un jour, j'ai été arrêté avant de passer quelques jours en prison...), à partir de 2014, les ennuis ont recommencé. En février 2015, ils se sont soldés par une condamnation à deux ans de prison ferme; s'y ajoutaient les saisies (confirmées en Justice, on ne m'a rien rendu) et la perte d'un travail que j'avais trouvé comme professeur dans un institut privé.

Ayant pu sauver mon ordinateur (avec Marie, nous avions aménagé une cache astucieuse où nous dissimulions nos affaires essentielles toutes les fois que nous sortions où que nous allions nous coucher), j'ai alors choisi de m'exiler en Angleterre. Là, j'ai connu six ans de paix relative. Mais je me doutais que mes adversaires agissaient, ce qui a été confirmé en avril 2021 lorsqu'un article du Monde révéla que les autorités françaises avaient demandé mon extradition*. Six mois plus tard, j'échappai à une arrestation en fuyant dans la rue.

Pendant toutes ces années, j'ai donc travaillé dans l'urgence, sans archiver mes travaux. Il en résulte un fouillis qui rend très difficile la synthèse sur laquelle je travaille. Fort heureusement, le temps dont je dispose désormais me permet de retrouver ce que j'ai pu sauver...

L'épisode sur les Einsatzgruppen qui devait durer une vingtaine minutes s'est ainsi transformé en film dont le plan sera le suivant :

1°) Le "massacre" de Babi Yar : 33 771 juifs prétendument assassinés en deux jours

Le prétendu effacement des preuves par les Allemands
Une photographie aérienne dément les allégations soviétiques
Ce qui s'est vraiment passé

2°) À l'Est, des Juifs tués par ce qu'ils agissent contre l'Occupant

Le sens réel de la mention : "Question juive, à exterminer comme des partisans."

L'illogisme de la thèse officielle
L'absence de crédibilité de l'ancien général SS qui, à Nuremberg, témoigna pour l'Accusation

3°) Aucun ordre d'extermination systématique des Juifs

4°) Les Juifs sont parqués dans des ghettos et astreints au travail forcé

5°) Pourquoi les massacres de Juifs se sont-ils intensifiés ?


À l'Est, l'horrible guerre des partisans déclenchée par Staline
Face aux exactions des partisans, les Allemands choisissent l'escalade dans la terreur
En URSS, la vie comptait peu, voire rien du tout

6°) Les femmes et des enfants tués par les Einsatzgruppen

Des femmes et des enfants participent à la guerre des partisans
Décembre 1942 : Hitler ordonne des contre-mesures, y compris contre les femmes et les enfants
"Barbarie nazie" ? Les réponses des accusés

7°) La fausseté des bilans effroyables avancés par l'Histoire officielle

Une impossibilité physique
224 000 victimes d'après les rapports d'activité journaliers des Einsatzgruppen
Pourquoi les bilans effroyables avancés par l'Histoire officielle sont faux
Conclusion sur les bilans des Eisatzgruppen

8°) La Shoah est indissociable des "chambres à gaz"

9°) Premières considérations sur les "six millions"


"Six millions" : une estimation soviétique issue d'un livre délirant paru en 1944
À Nuremberg, une simple déclaration sous serment, "prouve" les "six millions"
Réponse à l'argument : "Un peu plus ou un peu moins de victimes, qu'est-ce que ça change ?"
Conclusion : l'Holocauste est indissociable des "chambres à gaz". Tel doit être l'objet de la discussion

Je pense diviser le film en quatre épisodes d'une vingtaine de minutes chacun.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 8 months 3 days ago (Thu Oct 06, 2022 4:26 am)

Putin, l'allié de Hitler (dans "Walking Zombie", 2022).
Les leçons d'un film de propagande


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Toujours intéressé par ce qui se dit sur Internet à propos des "nazis", hier soir, après mon travail, j'ai découvert un film de 2022 mis en ligne le 25 septembre : "Walking Zombie".

Le scénario: tous les grands "méchants" de l'Histoire ressuscités sont réunis. On voit Attila, Gengis Khan, Staline, ben Laden, Pol Pot... et même l'ancienne Première Ministre britannique Margaret Tatcher. Parmi eux, deux vivants : Mark Zuckerberg et Vladimir Poutine.

Sans surprise, le grand chef intervient (à la 47e minute) : Adolf Hitler. Il traîne derrière lui un petit chariot sur lequel est déposé son berger allemand empaillé (avec un brassard à la patte avant).

Leur projet ? Nettoyer la Terre pour la rendre à nouveau "grandiose". C'est dit dans la chanson du début, lorsque Vladimir Poutine reconstitue pays par pays la carte du monde. Sans doute s'agit-il des pays déjà "nettoyés"...

Les "nazis" étaient cachés dans une base construite sur la face cachée de la Lune. Mais désormais, Hitler et tous ses complices ressuscités vivent au centre de la Terre, dans une sorte de paradis dont l'entrée se trouve sous l'Antarctique.

Dernière chose: leur ennemi est (bien évidemment) une femme métisse, ayant du sang noir dans les veines. Elle symbolise la liberté et l'intelligence contre la religion stupide (pratiquée à 99% par des Blancs, voir la 13e minute) et contre les "méchants nazis" aidés par leurs complices. Aux côtés de l'héroïne figure un Russe qui (bien évidemment) va combattre Putin.

Je n'attache guère d'importance au film en lui-même. Il ne s'agit pas d'un long-métrage destiné à formater les esprits, mais d'une œuvre qui exploite les bobards de propagande diffusés en amont, que ce soit à l'école, dans les médias et des les mémoriaux.

L'intérêt d'un tel film est de montrer (en caricaturant) les ressorts et l'objectif de la propagande actuelle: la quintessence du Mal, ce n'est plus le Diable, mais Hitler (qui commande tous les "méchants" de l'Histoire). Le Mal, c'est vouloir conquérir le monde et exterminer tout ce qu'on n’aime pas afin de bâtir une société "grandiose".

Moralité: la racine du Mal, c'est la haine de l'autre (symbolisée par Hitler)... Le Bien, c'est au contraire l'acceptation de l'autre au point de tout mélanger (races et cultures), ce qui aboutit au métissage généralisé (symbolisé ici par l'héroïne).

J'en tire deux leçons:

1°) la propagande actuelle reste fondée sur l'Histoire: "Hitler a montré où la haine mène." D'où la pertinence du combat révisionniste;

2°) nos adversaires sont donc très à l'aise quand, face à eux, des gens développent des discours de haine. Car ça rentre dans leur schéma. En revanche, ils sont désarçonnés si, en face, la personne développe un discours tranquille.

Une nouvelle preuve m'en a été donnée en octobre 2021, lors d'un entretien accordé à deux journalistes français.

Avec calme, je leur ai exposé ma conception du national-socialisme sans haine, tourné avant tout vers la réalisation d'un idéal supérieur (individuel et collectif). Rapidement, ils ont été désarçonnés. Je leur ai expliqué qu'à mes yeux, un mal social (l'immigration incontrôlée, la puissance des lobbies, la décadence de l'enseignement...) était le symptôme d'un dysfonctionnement qui, au départ, frappait notre société. Par conséquent, combattre l'ennemi extérieur était inutile si, en même temps, on ne corrigeait pas ce qui, chez nous, dysfonctionnait.

Ils ont porté la discussion sur le problème juif. Je leur ai répondu que si les organisations juives étaient puissantes, c'était parce qu'en conséquence du recul de la spiritualité, nos peuples avaient accepté à la mise en place d'une société matérialiste, donc où le commerce de consommation est roi. La meilleure façon de combattre la puissance parasitaire était donc de restaurer la spiritualité, sans quoi les parasites reviendraient toujours.

Face à mon discours tranquille et nullement simpliste, les journalistes ont été si désarçonnés que la femme a lancé: "Vous connaissez mieux ne nazisme que les nazis !" Je lui ai répondu que le national-socialisme était antérieur à l'hitlérisme (le premier parti national-socialiste a été créé en France, en 1903), donc qu'on pouvait être national-socialiste sans adhérer à tout ce qui avait été fait en Allemagne, à cause des circonstances du moment.

A ma connaissance, l'entretien que je leur ai accordé n'a jamais été diffusé. Ils savaient fort bien qu'un tel discours aurait troublé une partie du public, excitant la curiosité de certains. Et ça, ils veulent l'éviter à tout prix.

Voilà pourquoi je continuerai à tenir ce discours. J'ajoute qu'il ne s'agit pas de "com"; ce discours reflète ma façon d'être.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 4 weeks ago (Mon Oct 10, 2022 11:26 pm)

Réviser l'Histoire pour rebâtir l'Europe (Ép. 23): Les Einsatzgruppen en URSS, première étape de la Shoah ?


Pour la première fois, un film révisionniste complet sur les Einsatzgruppen.

Depuis une quinzaine d'années, la "Shoah par balles" est de plus en plus évoquée dans les médias. L'Histoire officielle affirme qu'à partir de l'été 1941 l'Est, des "groupes spéciaux" ont massacré systématiquement les Juifs. En deux ans, ils en auraient tué jusqu'à deux millions, hommes, femmes et enfants. Le symbole de cette "Shoah par balle" est Babi Yar, un ravin des environs de Kiev: le 29 et 30 septembre 1941, les Allemands y auraient fusillé plus de 33 000 Juifs.

Ayant regroupé tous mes travaux effectués depuis 2018 sur les Einsatzgruppen, j'ai le plaisir de vous offrir aujourd'hui un film de 1h15 sur le sujet. Il aborde les aspects principaux de la question et répond aux objections de la partie adverse.

Pour le réaliser, j'ai lu et étudié des milliers de pages, en particulier les procès intentés après la guerre aux chefs des Einzatsgruppen. Vous découvrirez que là, comme ailleurs, les historiens accrédités occultent toujours les arguments présentés par la Défense. Lorsqu'on les met en lumière, la réalité apparaît, bien différente de celle véhiculée aujourd'hui dans les médias, les ouvrages et les manuels scolaires.

Plan du film :

1°) Le "massacre" de Babi Yar: 33 771 juifs prétendument assassinés en deux jours

Le prétendu effacement des preuves par les Allemands
Une photographie aérienne dément les allégations soviétiques
Ce qui s'est vraiment passé

2°) À l'Est, des Juifs tués par ce qu'ils agissent contre l'Occupant

3°) Le sens réel de la mention: "Question juive, à exterminer comme des partisans."

L'illogisme de la thèse officielle
L'absence de crédibilité de l'ancien général SS qui, à Nuremberg, témoigna pour l'Accusation

4°) Aucun ordre d'extermination systématique des Juifs

5°) Les Juifs sont parqués dans des ghettos et astreints au travail forcé

6°) Pourquoi les massacres de Juifs se sont-ils intensifiés?

À l'Est, l'horrible guerre des partisans déclenchée par Staline
Face aux exactions des partisans, les Allemands choisissent l'escalade dans la terreur
En URSS, la vie comptait peu, voire rien du tout

7°) Les femmes et des enfants tués par les Einsatzgruppen

Des femmes et des enfants participent à la guerre des partisans
Décembre 1942: Hitler ordonne des contre-mesures, y compris contre les femmes et les enfants
"Barbarie nazie"? Les réponses des accusés

8°) La fausseté des bilans effroyables avancés par l'Histoire officielle

Une impossibilité physique
224 000 victimes d'après les rapports d'activité journaliers des Einsatzgruppen
Pourquoi les bilans effroyables avancés par l'Histoire officielle sont faux
Conclusion sur les bilans des Einsatzgruppen

9°) La Shoah est indissociable des "chambres à gaz"

10°) Premières considérations sur les "six millions"

"Six millions": une estimation soviétique issue d'un livre délirant paru en 1944
À Nuremberg, une simple déclaration sous serment, "prouve" les "six millions"
Réponse à l'argument: "Un peu plus ou un peu moins de victimes, qu'est-ce que ça change ?"
Conclusion: l'Holocauste est indissociable des "chambres à gaz". Tel doit être l'objet de la discussion


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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 3 weeks ago (Sun Oct 16, 2022 12:41 am)

La force de la vérité


Mon ami "Omina véritas" avait commandé deux exemplaires de notre brochure révisionniste illustrée "Enquête sur Oradour". Son objectif était de contribuer à diffuser l'information. Hier, il m'a écrit: "visiblement, cela a été bien accueilli (je dirais même à ma plus grande surprise)".

Pour ma part, je n'en suis guère surpris.

Lorsque, en 1990, j'effectuais mon enquête sur Oradour, je m'étais rendu une première fois dans le village en ruine. J'avais planté ma tente au camping municipal (qui n'existe plus). De nombreux visiteurs y arrivaient le soir afin de visiter l'endroit le lendemain. Chaque soir, j'enregistrais mes impressions de la journée sur une bande magnétique. Souvent, mes voisins venaient me voir et me demandaient si j'effectuais une enquête. Je leur répondais positivement et leur expliquais, sans rien cacher, mes doutes concernant la thèse officielle. Tous ceux qui me revoyaient le lendemain venaient me dire: "Vous avez raison, ça ne tient pas debout leur histoire".

Loin de moi la prétention d'avoir convaincu tout le monde (car ils ne revenaient pas tous me voir), mais j'avais été surpris par le nombre de convaincus. Quelques années plus tard, alors que j'étais revenu dans les ruines de l'église afin d'effectuer d'autres constats, j'ai vu une jeune fille qui demanda à ses parents: "Mais... pourquoi le confessionnal n'a-t-il pas brûlé?"
Voulant terminer mes relevés sans créer de scandale, je m'étais gardé d'intervenir. Visiblement, la surprise s'est arrêtée là. Cette famille n'a pas été plus loin dans la réflexion (ce qui se comprend). Sans doute est-elle ressortie de la visite en disant: "Ce confessionnal, c'est bizarre, mais bon, ça s'est passé comme on nous le dit..."

Si, toutefois, j'étais intervenu, je leur aurais expliqué pourquoi la thèse officielle ne peut se concilier avec la préservation du confessionnal. Je leur aurais ensuite parlé de la fusion partielle des cloches, de la sphère de la croix faîtière, du saut impossible de la femme présentée comme l'unique rescapée du massacre... Tout comme les gens auxquels j'avais parlé dans le camping, cette famille -j'en suis persuadé- aurait été convaincue.

La vie me l'a démontré: bien des gens sont capables de déceler des incohérences dans la thèse officielle. Cependant, ils ne les décèlent pas toutes et ils ne disposent pas des connaissances techniques suffisantes pour en mesurer la force. A cela s'ajoute la confiance -compréhensible- dans le récit officiel ("Pourquoi nous mentirait-on? Et si l'on avait menti, ça se saurait..."). D'où une réflexion qui avorte, faute d'arguments: "Il y a une bizarrerie, mais bon..."

Toutefois, si ces gens découvrent la thèse révisionniste, alors la réflexion reçoit la nourriture intellectuelle qui lui permet de grandir et, comme la chrysalide se transforme en papillon, d'aboutir au rejet de la thèse officielle.

Voilà pourquoi les gardiens de la Mémoire d'Oradour s'acharnent à rendre le message révisionniste inaudible. Par la loi, certes, mais aussi par le mur du silence. En mai dernier, notre brochure "Enquête sur Oradour" a été diffusée auprès de dizaines d'établissements scolaires français. L'affaire a été étouffée: pas une seule réaction publique. Rien!

Pourquoi? Parce que cette brochure se contente de développer, froidement, des arguments historiques et techniques. Elle ne contient rien de polémique. La première page affirme: "Respecter les victimes, c'est déjà dire la vérité sur les circonstances de leur mort." La suite ne contient aucune attaque verbale contre les gardiens de la Mémoire: l'exploitation politique et financière qui peut être faite du drame reste hors sujet; dans un premier temps, l'objectif est d'établir ce qui s'est vraiment passé, ce 10 juin 1944, à l'aide d'arguments historiques et de constats matériels. L'auteur termine en demandant, pour les révisionnistes, la liberté de recherche et d'expression.
Certes, Marie-France Hugo-Furet n'est pas naïve au point de croire que son appel sera entendu par les autorités. Mais elle le sait: les simples citoyens qui liront la brochure seront ébranlés. Parce qu'elle respecte les victimes, parce qu'elle se contente de développer des arguments factuels et parce qu'elle réclame la liberté de recherche et d'expression.

Des gens me disent: "Vous n'injuriez jamais, même vos pires ennemis." A cela, je réponds: "Je n'en ai nul besoin. Car pour le menteur, la vérité en elle-même est une injure. Quant à la personne qui cherche la vérité, ce ne sont pas les injures qui la convaincront, mais les arguments."

La brochure "Enquête sur Oradour" est téléchargeable gratuitement https://drive.google.com/file/d/14YO8Ns ... sp=sharing

Merci à celles et à ceux qui nous aideront à sa diffusion.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 3 weeks ago (Sun Oct 16, 2022 11:05 pm)

[SIZE="3"]Oradour, synthèse révisionniste et réouverture de la boutique ; où en sont nos projets?[/SIZE]

Un internaute me demande :

"auriez-vous une estimation des trois dates suivantes :

  • Réouverture de la boutique.
  • Parution du nouvel ouvrage sur Oradour.
  • Parution du livre résumant vos travaux révisionnistes."

1°) mon nouvel ouvrage sur Oradour paraîtra dans la première quinzaine de novembre. J'en ai terminé hier la relecture. Il sera proposé à la vente sur notre blogue. Jusqu'à la réouverture de la boutique, les gens intéressés pourront l'acheter soit en envoyant du numéraire (le prix sera "rond") soit en utilisant une cryptomonnaie de leur choix. Pourquoi cette restriction? Parce que nous ne disposons toujours pas de moyen de paiement par carte bancaire ou équivalent (PayPal, virement...).

2°) notre boutique entière rouvrira lorsque nous disposerons d'un moyen de paiement par carte (ou équivalent) qui pourra durer. Depuis plusieurs années en effet, nos adversaires agissent pour que les intermédiaires qui permettent ces paiements refusent tout partenariat avec nous. Un par un, donc, ces entreprises ont rompu leur contrat avec la boutique de Sans Concession.

Afin de contrer leur action, nous avons contacté un partenaire américain qui accueille les bannis de notre genre. Les négociations ont duré six mois. Le contrat est enfin signé. Reste toutefois l'aspect technique: l'intégration de notre boutique à leur système. Nous ignorons combien de temps cela leur prendra. N'ayant aucun moyen d'accélérer le processus, nous attendons en espérant pouvoir rouvrir en novembre ou en décembre. Toutefois, rien n'est certain.

Voilà pourquoi nous proposerons le livre sur Oradour dès la première quinzaine de novembre dans une "sous-boutique" spéciale, sans moyens de paiement par carte ou équivalent. Pourquoi seulement le livre sur Oradour ? Parce que l'expérience nous l'a démontré: gérer une boutique entière sans paiement par carte est impossible. a) 50% des acheteurs abandonnent; b) lorsque de nombreux titres sont proposés, la gestion des achats en numéraire devient rapidement chaotique.
D'où la vente, dans moins d'un mois, du seul livre sur Oradour.

3°) à propos du livre résumant mes travaux révisionnistes. Je le finaliserai une fois la série vidéo terminée. Il comportera environ trois tomes de 150 pages chacun. C'est un travail énorme, qui prendra environ un an après l'achèvement de la série. Cette somme révisionniste, résumant le travail de toute une vie, devrait donc paraître à l'automne 2023.

Tous ces retards nous navrent. Mais un élément capital demeure: malgré toutes les tentatives de nos adversaires pour nous faire taire, nous sommes encore là et nous travaillons :

  • depuis le 25 octobre dernier, date de la tentative d'arrestation à laquelle j'ai échappé de justesse, j'ai réalisé de nombreux travaux révisionnistes, dont des vidéos que je vous offre avec plaisir. Pourtant, j'aurais pu tout cesser, me terrer et me taire, voire me rendre. Au lieu de cela, j'ai préféré rester fidèle à ma mission, même s'il me faut désormais vivre en desperado. Mon seul horizon est de terminer mes projets révisionnistes. Après... advienne que pourra.
  • une nouvelle boutique est prête, sur laquelle nous avons travaillé. Elle proposera les anciens titres et des nouveautés.

Bref, malgré une situation précaire, nous avons réalisé de nombreux travaux et nos projets sont, eux aussi, nombreux. Merci à celles et à ceux qui nous soutiennent en ces temps difficiles. Grâce à eux, l'aventure continue. Nous ferons tout pour être à la hauteur...

Je vous souhaite une agréable journée,

Vincent

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 2 weeks ago (Thu Oct 20, 2022 12:52 am)

Le mythe des "camions à gaz": une histoire révélatrice des méthodes employées par les vainqueurs de 1945

Je viens de terminer le texte de l'épisode de ma série qui sera consacré aux prétendus "camions à gaz". Plus qu'un épisode, ce sera un film en deux parties. Car outre l'aspect technique, traiter le dossier des véhicules spéciaux nécessite d'aborder la question des faux documents fabriqués et des faux aveux recueillis après la guerre. C'est donc une histoire passionnante que je raconterai, avec notamment un volet consacré aux techniques d'interrogatoire policières qui permettent de recueillir les aveux souhaités par les enquêteurs.

En voici le plan:

I. Juillet-septembre 1941: Hitler ordonne l'expulsion des Juifs vers l'Est

II. Chelmno et le mythe des "camions à gaz"

1°) Aucune photo d'un "camion à gaz"

2°) Le film allemand censé montrer un gazage à l'aide d'un camion

3°) Aucun document sur la genèse des "camions à gaz"

4°) La signification véritable des termes "camion S", "camion spécial", "véhicule spécial"

5°) Le terme "traitement spécial" était-il toujours un code pour "mise à mort"?

6°) Du gaz d'échappement diesel pour asphyxier? Impossible.

7°) Des "camions à gaz" hermétiques? Impossible.

8°) Le "document Just" du 5 juin 1942: une preuve de l'existence des "camions à gaz"?

  • Un exposé qui trahit le faux document
  • Un faux document bâti à partir d'un vrai
  • Réponse à l'objection : "Willy Just s'adressait à ses complices SS"
  • Un faux document rempli d'erreurs techniques
  • Pourquoi avoir confectionné (entre autres) ce faux document?

9°) La fonction véritable des "camions spéciaux" du RSHA selon Santiago Alvarez et Pierre Marais

10°) Le "document Becker" du 16 mai 1942 (PS-501 à Nuremberg): un faux partiel

  • Gazage et pédale d'accélération : les inepties du "document Becker"
  • Le "document Becker": un faux partiel réalisé à partir d'une lettre authentique
  • Conclusion sur le "document Becker"

11°) Le "document Becker" utilisé pour soutirer un faux témoignage à Otto Ohlendorf sur les "camions à gaz"

  • Un témoin qui opte pour une "défense de connivence"
  • Otto Ohlendorf accepte de modifier son témoignage pour le rendre totalement conforme au "document Becker"
  • La docilité d'Otto Ohlendorf lui vaut d'être choisi comme témoin à charge au procès de Nuremberg
  • A la barre, Otto Ohlendorf confirme l'existence des « camions à gaz » avant de montrer son ignorance du dossier
  • Otto Ohlendorf authentifie le "document Becker" avant de se démasquer lui-même

12°) La lettre de Turner au général SS Wolff : le "camion pour l'épouillage" était-il un camion à gaz?

13°) Sur les témoignages et les aveux

  • Les (vieilles) méthodes pour obtenir de faux aveux
  • Le premier rapport sur les "camions à gaz" de Chelmno (1942)
  • Une origine possible de la rumeur: les "camions au gazogène"
  • 1945: une ambiance de vengeance qui favorise les faux témoignages

Conclusion sur les camions à gaz

L'exposé devant durer deux heures environ, l'enregistrement et le montage de la vidéo prendront environ une dizaine de jours.

Je vous souhaite une agréable journée,

Vincent

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 2 weeks ago (Tue Oct 25, 2022 8:02 am)

En clandestinité depuis un an, une révélation et quelques souvenirs

Il y a un an jour pour jour, je m'enfuyais par la porte de derrière afin d'échapper à deux inspecteurs britanniques venus m'arrêter.

Bien qu'ayant raconté ma fuite, j'ai omis un épisode que je révèle aujourd'hui: recueilli par une amie britannique qui ne pouvait pas m'héberger très longtemps, j'ai trouvé dans l'urgence une chambre à louer. C'était dans la banlieue de Liverpool. Le quartier était minable et la chambre tout autant. Elle était située au-dessus d'un bar miteux, dans une maison avec plusieurs locataires. Deux semaines plus tard, j'entendis du vacarme dans le couloir. On m'avertit que la police frappait à la porte. Personne ne voulait ouvrir... Persuadé que les policiers étaient venus pour moi, j'entrepris de fuir. Cette fois cependant, il n'y avait pas de porte donnant sur un jardin. Ma seule solution: la fenêtre de ma chambre qui donnait sur une autre rue (la maison faisait le coin). J'étais au premier étage, mais fort heureusement, une avancée sous la fenêtre me faisait bénéficier d'un toit plat. Ayant pris mon téléphone et les clés, je sautai. Arrivé sur le toit, je sautai sur le trottoir et je m'enfuyais en courant. Un vrai film.

Ayant emprunté une ruelle, je débouchais sur une avenue où je pouvais me mêler à la foule. Là, je téléphonais à mon amie. Elle travaillait et ne pouvait venir me chercher qu'à minuit. Restait à trouver un lieu de rendez-vous. Je le lui donnerais plus tard. Le soir venant, les rues se vidaient. Craignant de rencontrer une patrouille de police, j'avisais un chemin qui longeait un cimetière. Pendant quatre heures, je le parcourais d'un bout à l'autre, inquiet à l'idée de me faire remarquer par un voisin du cimetière, car à chacun de mes passages, un chien aboyait. Mais rien de fâcheux n'arriva. À minuit, mon amie vint me chercher dans une rue non loin.

Je restais chez elle deux jours. Puis nous sommes retournés à ma chambre. En fin de matinée pour plus de discrétion. Après avoir vérifié que tout était calme (les locataires dormaient encore), elle me fit signe et nous nous sommes empressés d'aller récupérer mes quelques affaires. La porte de ma chambre n'avait pas été ouverte et tout était là, comme je l'avais laissé (la fenêtre était encore ouverte).

Aujourd'hui, je suis persuadé que la police n'était pas venue pour moi. Car dans cette maison miteuse, j'avais plusieurs fois senti des odeurs de drogue. Sans doute les policiers enquêtaient-ils sur une affaire de ce genre. Je compris alors pourquoi personne ne voulait ouvrir... Sur le moment, toutefois, je n'avais pas vraiment réfléchi à tout cela.

J'ai donc téléphoné au propriétaire pour lui dire que j'avais trouvé autre chose. Il m'a cru, ou a fait semblant...

Aujourd'hui, je vis chez une vieille personne que j'aide. Je fais ses courses et j'entretiens sa maison en laissant tout propre derrière moi. Pour payer ma nourriture, je donne deux heures de cours particuliers hebdomadaires.

Pour le reste, je travaille à terminer mes projets révisionnistes. Mon nouvel ouvrage sur Oradour paraîtra en novembre. Ce sera sans doute ma dernière contribution à l'affaire, car je passe le relais à des libres chercheurs plus jeunes que moi, et plus libres de leurs mouvements. Leur mission sera d'éclairer les zones d'ombre qui subsistent. Je leur promets des heures d'enquête passionnantes. Car enquêter sur l'affaire d'Oradour se révèle passionnant.

Je me souviens de mon entretien avec le rescapé Aimé Renaud, un soir d'août 1990: il m'avait raconté que l'église avait été le siège d'une explosion ; une explosion si forte que dans le jardin où il s'était caché avec son épouse (à une quarantaine de mètres du lieu saint), ils avaient senti le souffle. Lorsque je le quittai, j'étais surexcité à l'idée d'être sur la bonne voie.

Plus tard, une femme qui avait connu Mme Renaud me révéla qu'à Oradour, il y avait les "témoins vedettes", qui débitaient l'histoire officielle (Camille Senon, Marcel Darthout, Robert Hébras...) et ceux qui restaient en retrait (comme les Renaud) car ils refusaient de cautionner davantage le mensonge. Parmi ces témoins muets retrouvés, M. Tarnaud me confia que l'église avait explosé. Il précisa qu'à Oradour tout le monde savait la vérité, mais que personne n'oserait la dire, y compris lui, parce qu'il voulait mourir tranquille... Pour un chercheur comme moi, de tels moments sont extraordinaires.

Je me rappelle enfin mon entretien avec Len Cotton, en septembre 1996. Cet ancien pilote de la RAF me confirma qu'il avait été caché dans la sacristie de l'église d'Oradour, qu'il avait été nourri par une fille de Madame Rouffanche et que dans le village, il y avait « une grande résistance ». Lorsque je raccrochais, j'avais les larmes aux yeux. Nous avions franchi un pas immense.

Ceux qui viendront après moi feront d'autres trouvailles. En 2053, les archives seront ouvertes. Il sera impossible de les expurger. Je garantis à mes continuateurs des heures de dépouillement et des découvertes capitales, qui leur permettront de faire la lumière. J'aurais tant aimé être avec eux...

Mais revenons au présent. Je travaille à terminer ma série intitulée : "Réviser l'histoire pour rebâtir l'Europe". Elle synthétise une vie de recherches sur l'Holocauste et sur l'aventure nationale-socialiste en Allemagne. Une fois la série terminée en vidéo, je regrouperai les textes pour les publier sous forme d'un livre. L'ouvrage comportera trois ou quatre volumes de 150 pages chacun. Je souhaite y ajouter un tome consacré au premier procès de Nuremberg. Tout cela me prendra un an de travail intensif, voire davantage.

Si je parviens à achever cette synthèse, j'en serai très heureux. Et s'il y a un "après", à quoi l'occuperai-je? Je l'ignore.

J'ai dédié ma vie au révisionnisme et à la défense du national-socialisme. Cette vie, je l'ai choisie en connaissance de cause. Le professeur Faurisson m'avait prévenu: "Reynouard, avant de vous engager, attendez d'obtenir votre diplôme." Je lui avais répondu: "Professeur, vous me conseillez d'attendre d'avoir mon diplôme. Puis vous me direz d'attendre de trouver un travail. Ensuite, vous me direz d'attendre d'avoir une femme, puis une famille. Enfin, vous me direz d'attendre que mes enfants soient grands... Si je ne m'engage pas à vingt ans, je ne m'engagerai jamais."

Je me suis engagé. C'était en 1989. Un an plus tard, la loi Gayssot fut promulguée. Malgré cela, je continuais à distribuer des tracts dans Caen. Première plainte, première garde à vue avec un inspecteur qui me cria : "Au lieu de faire tes conneries, tu ferais mieux de baiser des gonzesses." L'avenir me démontra qu'on pouvait faire les deux.

La plainte me valut mon premier procès. C'était le 6 novembre 1991. Maître Delcroix me défendait. Le professeur Faurisson et Henri Roques avaient déposé comme témoins. Une vingtaine d'amis révisionnistes étaient venus me soutenir. Pensant ridiculiser Robert Faurisson, le procureur lui montra le livre de Walter Laqueur, Le terrifiant secret, et lui demanda s'il l'avait lu. Le Professeur lui répondit: « C'est un bonheur cette question! Ce livre, vous devriez, comme moi, le lire dans sa version originale en anglais, c'est toujours mieux." Dans la salle d'audience, l'ambiance était électrique. Le président invoquait le sérieux du procès de Nuremberg. De sa chaise, la sœur du professeur Faurisson s'écriait : "Katyn !" L'avocat de la LICRA me traitait de nazi. Je répondais : "C'est un honneur !" Dans le public, quelqu'un cria: "Ah! Ils sont là tous ces fachos!" À l'extérieur, les adversaires nous attendaient. Quand nous sortîmes, ils se rangèrent de chaque côté de la porte et crièrent: "Nazis dehors! Nazis dehors!" Un ami me dit: "Ils nous font une haie d'honneur." Une femme hystérique nous cracha à la figure...

Je savais désormais ce que serait une vie de révisionniste. Malgré tout, j'ai toujours bien rigolé. Notamment quand j'ai été mis en prison par une juge qui s'appelait... Emilie Joly.

Je me rappelle aussi cette juge qui m'avait placé sous contrôle judiciaire. Une quinzaine d'étudiants en Droit se trouvaient dans son bureau. J'étais arrivé menotté. La juge semblait fière de montrer comme elle traitait un "négationniste". Elle me mit sous contrôle judiciaire en m'imposant comme condition l'interdiction "de donner des cours particuliers à des mineurs." Je lui répondis tout sourire: "Des mineurs d'âge ou de profession?"

Le groupe OTH chantait: "Il y a toujours une issue quelque part, une issue de secours quand on prend tout avec humour." Ces paroles, je les fredonnais en 2008, à mon entrée dans la prison de Fleury-Mérogis. À 53 ans, en exil et clandestin, j'en suis venu à conclure qu'au regard de l'éternité, la vie est un jeu. Un jeu composé d'une myriade d'existences qui, toujours au regard de l'éternité, ne durent chacune qu'un battement de cils.

Voilà pourquoi aujourd'hui, je ne regrette rien. Bien au contraire, j'irai jusqu'au bout, quelle que soit la fin de cette existence sous le nom de Vincent Reynouard.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 2 weeks ago (Wed Oct 26, 2022 12:15 am)

La liberté d'expression? Très peu pour moi!

À la suite de mon message d'hier, des internautes qui me soutiennent ont accusé les autorités de violer, à mon encontre, le principe de liberté d'expression.

Personnellement, je n'ai jamais revendiqué, auprès de mes adversaires, le droit à la liberté d'expression. Pourquoi? Parce que ce monde bâti sur les ruines du IIIe Reich est fondé sur la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée le 10 décembre 1948 par l'assemblée des Nations Unies. Or l'objectif de cette déclaration est de promouvoir de nombreux principes parmi lesquels l'égalité et son corollaire : l'antiracisme. L'antiracisme signifie que même si vous reconnaissez l'existence des races (ce qui peut être le cas aux USA et en Grande-Bretagne par exemple), cela ne doit avoir aucune conséquence sur la politique du pays, notamment en matière de nationalité, de citoyenneté et d'immigration. Autrement dit : tout être humain, quelle que soit sa race, a le droit d'être (par naissance) ou de devenir (par demande) citoyen du pays de son choix et ainsi de bénéficier de tous les droits accordés aux citoyens. Telle est la philosophie profonde des Droits de l'Homme.

Mais en tant que national-socialiste, je prône une société raciste et nationaliste, c'est-à-dire une société qui reconnaît l'existence des races et des nations charnelles, et qui les prend en compte dans le domaine politique. En conséquence, je prône une société inégalitaire qui implique qu'au sein d'un pays, tous les êtres humains n'ont pas les mêmes droits. Pour le dire simplement: à mes yeux, l'étranger ne bénéficie pas de tous les droits accordés aux "de souche".

Ce principe, je l'applique d'abord à moi-même: en tant qu'étranger (de 1999 à 2010, j'ai vécu en Belgique ; depuis 2015, je vis en Angleterre) je ne participe pas à la vie politique du pays, je ne critique pas les autorités et je n'ai jamais cherché à entrer dans la fonction publique. Je me reconnais comme un citoyen de seconde zone.

Cette précision effectuée, j'en reviens à mon propos : en tant que national-socialiste, je m'oppose à certains droits garantis par la Déclaration universelle des droits de l'homme. Or, l'article 29, § 3, de cette déclaration souligne: "Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies". L'article 30 confirme: "Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour (…) un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés." En clair: "Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté". Ou bien: "Quiconque lutte contre les Droits de l'Homme ne peut revendiquer, dans le cadre de sa lutte, un droit de l'Homme."

Telles sont les règles du jeu. Voilà pourquoi je ne perds pas mon temps à revendiquer, pour moi, la liberté d'expression (article 19). Dans le cadre de ma lutte, je ne réclame même pas un procès équitable (article 10). Mes adversaires m'ont prévenu: ils ne me l'accorderont pas.

Bref, je ne réclame ni ne revendique aucun droit. En revanche, j'affirme mon devoir de dire la vérité, et face aux juges, je reprends les mots prononcés par Napoléon III lors de son procès pour tentative de coup d'État: "Je représente devant vous un principe, une défaite, une cause (…) Représentant une cause, je ne puis accepter, comme juge de mes volontés et de mes actes, une juridiction politique. Vos formes n'abusent personne dans la lutte qui s'ouvre; il n'y a qu'un vainqueur et un vaincu. Si vous êtes les hommes du vainqueur, je n'ai pas de justice à attendre de vous, et je ne veux pas de générosité."

Je n'ai jamais réclamé ni droit ni générosité. D'où mon refus d'implorer la clémence des juges au motif que j'étais père de famille nombreuse. Je ne voulais pas faire de mes enfants un bouclier, c'eût été non seulement vain, mais aussi indigne.

Je ne perds donc pas mon temps à réclamer des droits qui me seront refusés. Aux revendications stériles, je préfère les affirmations utiles: les "chambres à gaz" n'ont pas existé; à Oradour, les femmes et les enfants sont morts dans l'explosion d'un dépôt de munitions clandestin qui avait été aménagé sous les combles de l'église.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 1 week ago (Sat Oct 29, 2022 11:06 pm)

Réviser l'Histoire pour rebâtir l'Europe (Ép. 24): l'histoire du SS qui filma un gazage


Les propagateurs de la thèse officielle de l'Holocauste disposent d'un film en noir et blanc qui montrerait un "gazage expérimental" perpétré en 1941 dans un hôpital psychiatrique de Mogilev. La scène aurait été filmée par un SS, Arthur Nebe.

Après la guerre, un chimiste allemand, Albert Widmann, avoua sa participation à ce gazage expérimental. Il donna de nombreux détails. D'autres SS confessèrent à leur tour et confirmèrent...

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard commence par expliquer que cette histoire de "gazage expérimental" ne repose sur aucun document d'époque. Les historiens accrédités recourent à des "aveux" d'après-guerre.

Vincent Reynouard explique ensuite pourquoi ces "aveux" ont peu de valeur. S'appuyant sur des travaux américains, il expose les techniques policières d'interrogatoire qui permettent de faire avouer un suspect, qu'il soit innocent ou non. Puis il expose les cas d'Allemands qui, en 1945 et ensuite, ont été victimes de ces techniques policières. Parmi eux figurait le secrétaire personnel de Himmler, Rudolf Brandt: il avoua tout ce que l'Accusation voulait avant de se rétracter...

Cette partie de la vidéo est passionnante. Elle réfute l'argument qui consiste à dire: "Les bourreaux eux-mêmes ont avoué, alors qu'ils n'avaient pas été torturés. Or, personne ne peut avouer un crime qu'il n'a pas commis, s'il risque la peine de mort..."

Vincent Reynouard explique enfin pourquoi le film qui montrerait un "gazage expérimental" est dénué de force probante. Outre des étrangetés dans le film lui-même, sa "découverte" en 1947 relève du conte de fées, il a été utilisé uniquement dans le cadre d'un documentaire de propagande, et aujourd'hui, l'original serait "perdu".

Pour l'auteur, la scène du "gazage expérimental" a été tournée par les Soviétiques après la guerre, dans le cadre d'un documentaire de propagande antinazie...

Plan de la vidéo

I. De la "Shoah par balles" à la "Shoah par gaz": une histoire qui ne repose sur aucun document d'époque

II. La valeur des “aveux” obtenus après la guerre

1°) Menaces sur les familles pour obtenir des aveux signés : le cas de Fritz Sauckel (pendu en 1946)

2°)Les techniques traditionnelles d'interrogatoire qui permettent d'obtenir les "aveux" désirés

Réponse à l'argument : sauf torture physique, personne ne peut avouer un crime grave qu'il n'a pas commis
Un ancien inspecteur de la police de New York confirme : je peux obtenir n'importe quel aveu

3°) Le cas du secrétaire personnel de Himmler Rudolf Brandt (pendu en 1948, le jour de son anniversaire)

4°) Le cas de l'ancien commandant d'Auschwitz Rudolf Höss (pendu en 1947)

5°) Après les "aveux" publics de Rudolf Höss, tout démenti devient inutile: le cas d'Otto Moll (pendu en 1946)

6°) Le jugement de Nuremberg confirme que tout démenti sera désormais vain: les cas d'Oswald Pohl et d'Albert Widmann

III. Le film montrant un gazage expérimental

1°)Un film effectivement tourné à Mogilev (Biélorussie), mais par qui?
2°) La "découverte" du film l'original en juin 1947
3°) Un film capital que l'on ne montre ni au procès des Einsatzgruppen, ni au procès de Widmann...
4°) Un film capital dont l'original est... perdu
5°) Mon hypothèse sur la provenance réelle du film

Conclusion générale


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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 1 week ago (Sun Oct 30, 2022 5:45 am)

Ces vieilles pierres qui me persuadent de continuer le combat révisionniste


Il y a peu, un ami me disait: "Tes vidéos sont de qualité, mais tout ce travail pour quelques milliers de vues, alors que tes adversaires touchent des millions de personnes..."

Le constat est exact. Mais il ne doit être un motif ni de colère ni de désespoir.

Hier, après avoir publié ma vidéo et donné mes cours particuliers, j'ai enfourché mon VTT. Ma randonnée m'a conduit jusqu'à une ruine, perdue au milieu des champs, inaccessible en voiture. Depuis mon jeune âge, j'aime visiter ce genre de ruine ainsi que les vieux cimetières. Aujourd'hui, je peux y prendre des photos et les retravailler.

Face à ces vieilles pierres, je songe aux générations qui ont habité les lieux: des centaines de gens qui ont ri, pleuré, donné la vie, nourri des espoirs et des craintes. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Pour la quasi-totalité d'entre eux, rien que ces pierres perdues et, pour les générations les plus récentes, quelques tombes oubliées.

On me répondra que grâce à eux, nous sommes là. Sans doute. Mais si, revenant aujourd'hui, ils voyaient l'état de la société, je pense qu'au-delà d'un émerveillement passager face à l'évolution de la technique, beaucoup d'entre eux seraient consternés, voire horrifiés par la vie moderne.

Faut-il en conclure en l'inutilité de nos combats, de nos actions, de la vie? Je laisse chacun répondre et en tirer les conclusions qui s'imposeront dans son esprit. Pour ma part, quand je contemple ces vieilles pierres, je pense déjà à ceux qui ont construit la bâtisse. Ils y ont mis tout leur art et tout leur savoir-faire. Même le plus humble des ouvriers a acquis des mérites en y apportant ses efforts. Je pense ensuite à la plus humble des servantes qui, dans ce manoir, a servi au mieux ses maîtres. Je pense enfin au maître qui a pu acquérir des mérites avec ses bonnes actions.

Que reste-t-il de tout cela? Pour celui qui, aujourd'hui, contemple avec ses yeux, il ne reste que des pierres perdues et des tombes oubliées. Mais ce n'est là que le côté matériel. Pour moi qui crois en une réalité supérieure et en la pluralité des existences, je me dis que par les mérites acquis durant leur vie, ces gens se sont rapprochés du Créateur. Le Bouddha enseignait: "Menez une vie de droiture, mais non une vie de corruption. L'homme qui marche dans la voie du Dhamma vit heureux dans ce monde et dans le suivant" (Dhammapada, v.169).

Acquérir des mérites dans cette existence terrestre en accomplissant son devoir du mieux que l'on peut; tel est, à mes yeux, le sens de la vie. Connaîtra-t-on, ici-bas, le succès? Sera-t-on récompensé dignement? Peut-être pas. Qu'en restera-t-il après notre mort physique? Peut-être rien. Mais c'est sans aucune importance. Le matériel est destiné à passer; le Christ l'enseignait: "Ce Ciel passera", "Devenez passant" (Évangile de Thomas, v.11 et 42). Ces ruines et ces vieilles tombes nous le rappellent.

A Caen, j'avais trouvé la tombe d'une demoiselle morte en 1895 à l'âge de 15 ans, Madeleine Deniau. Un vitrail montrait son visage que je trouvais charmant dans son expression (voir ci-dessous). J'imaginais le jour de son enterrement: la famille en pleurs, comme si le monde s'écroulait. Un siècle plus tard, la tombe était à l'abandon; les gens passaient devant sans même se retourner.

En sera-t-il de même avec mon travail révisionniste? Sera-t-il voué aux oubliettes de l'Histoire? Si le révisionnisme perd la bataille, certainement. Et si le révisionnisme triomphe? L'humanité retiendra peut-être que pendant un siècle, on aura cru aux "chambres à gaz", mais que des gens ont rectifié. Le nom de Faurisson sera cité. Pour le commun des mortels, l'affaire se résumera en deux lignes. Deux lignes dans lesquelles je n'apparaîtrai pas.

Mais c'est totalement sans importance. J'aurais acquis les mérites du devoir accompli et j'aurais continué mon chemin d'existence en existence. J'avais coutume de dire à Marie: "Quand je mourrai, je ne veux ni cérémonie ni tombe. Le corps n'est qu'un véhicule temporaire. Une incinération et basta." Elle me répondait: "Non, je t'enterrai dignement." Dix ans plus tard, nous n'avons plus aucun contact. Quand je mourrai dans cet exil, elle ne le saura probablement même pas.

Voilà pourquoi j'aime visiter des ruines et me promener dans des cimetières. J'en ressors convaincu que le combat révisionniste mérite d'être continué, quels que soient son destin personnel et l'avenir de la société.

Je vous souhaite à toutes et à tous un bon dimanche.

Vincent

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 1 week ago (Wed Nov 02, 2022 12:22 am)

L'aventure révisionniste continuera


Hier soir, j'ai terminé les dernières corrections de mon nouveau livre sur Oradour.

Alors que je terminais le travail, je me suis souvenu comment tout avait commencé: un soir de 1990, lorsque je conversais avec un ami national-socialiste un peu plus âgé que moi. Il admirait la SS. Je lui répondis : "Mais tes SS, ils ont massacré les gens d'Oradour." En guise de réponse, il me présenta deux brochures révisionnistes sur le drame. J'ignorais que, sur le sujet aussi, des gens contestaient.

L'affaire me passionna et les mois suivants, je consultais tous les ouvrages et les journaux que la bibliothèque municipale de Caen possédait sur la question.

Au printemps, je décidai de mener ma propre enquête, en commençant par me rendre sur les lieux pour les inspecter et contacter, sur place, les survivants dont j'avais trouvé le numéro de téléphone dans l'annuaire.
J’avais alors 21 ans et ne disposais d’aucun moyen, mais j’étais résolu.

Début août, je partis pour Oradour. Dans mon sac à dos, j'emportais ma tente, un drap, un oreiller, un bol, une cuiller, un petit cahier et un stylo. J'y ajoutais un mètre pliant, un vieil Instamatic Kodak et un enregistreur audio récupérés dans les affaires parentales remisées au grenier.

C'était un samedi matin. J'avais pris un ticket de train pour Limoges, sans savoir comment, de là, je me rendrai à Oradour. Bref, la désorganisation totale. Au contrôleur, je demandai comment me rendre ensuite à Oradour. Il me dit que le samedi soir, je ne trouverais aucun transport en commun. Il me conseilla de descendre à Nantiat et d'y dormir au camping. C'était à 20km d'Oradour.

Le petit camping campagnard était merveilleux, avec une mare et des enfants qui jouaient autour. Je me souviens que, dans sa caravane, un couple regardait "Fort Boyard" (j'avais reconnu la musique).

Le lendemain au petit matin, muni d'une carte achetée au camping, je partis pour 20km de marche. Vers 10 heures, je savais que j'approchais. Soudain, à la sortie d'un virage, je vis le clocher de l'église sans son toit. Un frisson me parcourut. Cette église que, depuis des mois, je contemplais en photo, elle était là, devant moi, "en vrai".

Sur le moment, je pensais venir pour une simple petite enquête. J'étais loin de savoir où l'aventure me mènerait.

Vu mon manque d'argent, pas question de dormir à l'hôtel ni de manger au restaurant. Je louais une place au camping municipal qui existait encore. À la supérette voisine, j'achetais des Corn Flakes, du sucre et du lait. Je mangerais cela pendant les six jours prévus pour mon enquête.
La douche du camping dysfonctionnait. Il n'y avait plus d'eau froide, que de l'eau bouillante! Pour me doucher, je passais plusieurs fois et très rapidement sous le jet afin de ne pas me brûler. Un vrai cirque!

Ces six jours furent très fructueux. Lorsque je téléphonais aux survivants ou que je frappais à leur porte, la plupart me disaient: "Mais, comment m'avez-vous retrouvé?" Je leur expliquais que j'avais lu les comptes rendus du procès de 1953 parus dans la presse, que j'avais noté leur nom et que j'avais ensuite cherché dans l'annuaire. Parmi ces témoins que les gardiens de la Mémoire ne mettaient jamais en avant, certains refusèrent de reparler du 10 juin tragique. Mais d'autres furent heureux d'être interrogés. Je pense notamment à Aimé Renaud qui, m'ayant emmené dans les ruines d'Oradour pour me montrer l'endroit exact où il s'était caché le jour du drame, me révéla que l'église avait explosé.

À l'église, je vérifiai qu'effectivement, le confessionnal n'avait pas brûlé. Étudiant la chimie (des études qui comprenaient la résistance des matériaux), l'examen minutieux des cloches me convainquit que l'événement à l'origine de leur destruction ne pouvait être un incendie. J'allai enfin voir le vitrail par lequel l'unique survivante du drame, Marguerite Rouffanche aurait sauté. Là, je pris des mesures avec mon mètre. Le guide s'approcha: "Que cherchez-vous, monsieur?" me dit-il d'un ton soupçonneux. "À vérifier. Je veux comprendre pourquoi le confessionnal n'a pas brûlé..." Immédiatement, il lança: "Si vous êtes un partisan de Weidinger, alors je vous demanderai de sortir de cette église!" Je refusai. Un attroupement s'étant formé (c'était l'été), le guide n'insista pas.

Le jour suivant, j'interrogeai Maurice Beaubreuil. Il me raconta que, de sa cachette, il avait entendu une grosse explosion venue de l'église suivie d'une mitraillade venue de tous les coins du bourg. Puis ce fut Robert Hébras qui me débita ses histoires de roncier sous le vitrail central de l'église, roncier qui aurait amorti et interrompu la chute de Marguerite Rouffanche. Hélas pour lui, j'avais consulté suffisamment de photos d'époque pour savoir qu'un tel roncier n'avait jamais existé. Toutefois, je m'abstins de le contredire, ayant pu me rendre compte qu'à Oradour, les gens supportaient très mal les marques d'esprit critique.

Plus tard, mon ami Henri Lewkowicz me dit: "Les gens d'Oradour ne se comportent pas comme des victimes innocentes, mais comme des menteurs inquiets." Pour les gardiens de la Mémoire, c'est vrai.

Ces six jours me convainquirent qu'effectivement, la thèse officielle était mensongère. Je repartis au petit matin. Dans le bus qui me conduisait à Limoges, je me jurai de poursuivre l'enquête. En fait, je n'avais pas besoin de me faire violence; j'avais hâte, au contraire, de continuer les investigations. J'étais surexcité.

Je revins à Oradour en juillet 1993, trois semaines après la naissance de notre premier enfant. Mon épouse avait invité une amie pour l'aider. Je sus plus tard que mon départ pour le village martyr avait choqué mes beaux-parents: à leurs yeux, j'étais un "fanatique". Je les comprends et j'admets sans peine être un passionné. Mais quand on sait ce que les gardiens de la Mémoire et les autorités font subir aux révisionnistes, alors on comprend que seuls des jusqu’au-boutistes peuvent mener le combat en première ligne. La providence suscite donc les individus qu'il faut là où il le faut.

Si je raconte tout cela, c'est à l'adresse des jeunes qui seront tentés (à raison) de s'engager dans l'aventure révisionniste. J'ai commencé à enquêter sur Oradour avec des moyens dérisoires. J'ignorais totalement où cela me mènerait. Et lorsque les affaires se sont gâtées, j'ai continué, prêt à tous les sacrifices, sans me préoccuper de l'avenir. Isabelle Rivière soulignait: "il n'est pas une action féconde qui n'ait commencé par le sacrifice – c'est à dire par le contraire même de la prévoyance" (Sur le devoir d'imprévoyance, Paris, 1941, p. 147).

Pour savoir si l'aventure révisionniste vous est possible, alors interrogez-vous : "Suis-je apte à agir dans l'imprévoyance?" Autrement dit: suis-je prêt à agir même si, à vue humaine, mes moyens sont insuffisants et même si, toujours à vue humaine, des adversaires beaucoup plus forts pourront m'écraser?

Mon expérience démontre que c'est possible. Face aux moyens dont disposent les gardiens de la Mémoire, les miens ont toujours été dérisoires. En 1997, mes adversaires sont parvenus à faire interdire mon livre sur Oradour. Début septembre 1997, le président de l'Association nationale des familles de martyrs a déclaré que cette interdiction "met[tait] un terme à cette tentative de falsifier les faits." (Le populaire du centre, 8 septembre 1997, p.2) Mes adversaires pensaient donc m'avoir fait taire à jamais.

Mais j'ai persisté avec une cassette vidéo. C'était en 2000.

Pour cette cassette, en 2003 puis 2004, les gardiens de la Mémoire m'ont fait condamner à une forte amende, des dommages et de la prison ferme. Le soir du jugement, Camille Sénon regretta que j'aie pu ressortir libre du tribunal. De son côté, Marcel Darthout lança: "Il est condamné... c'est le principal". Encore une fois, ils pensaient m'avoir fait taire à jamais.

Mais j'ai persisté avec deux séries de vidéos publiées sur Internet. Et 25 ans après la publication de mon premier ouvrage. Je reviens avec un nouveau livre bien plus solide.

Je dis donc aux jeunes: le révisionnisme attend ceux de vous que la providence a désignés pour cette mission. Tout est possible quand on accepte de vivre dans l'imprévoyance, sœur du sacrifice. Nul besoin de grands moyens, la volonté suffit. Je sais que parmi vous, certains assureront la relève en montant en première ligne. D'autres les aideront en les soutenant de l'arrière. Les uns et les autres ont droit à mon respect. Chacun à sa place, l'aventure continuera.

Je vous souhaite une agréable journée.

Vincent

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 3 days ago (Sun Nov 06, 2022 1:42 am)

6 novembre 1991 : premier procès révisionniste en France. Je me souviens


Il y a 31 ans jour pour jour eut lieu, en France, le premier procès d'un révisionniste intenté au nom de la loi Gayssot. C'était à Caen. J'étais l'accusé. La Justice me poursuivait pour avoir diffusé, notamment, un tract intitulé : "Testez-vous".

Je l'avais confectionné afin d'éveiller la curiosité du public à propos du révisionnisme. Reproduit ci-dessous, le tract posait quatre questions sur "l'Holocauste" avec, pour chacune d'entre elles, deux réponses proposées : la première était conforme à l'Histoire officielle, la deuxième aux thèses révisionnistes. À ceux qui auraient coché les premières réponses, le tract déclarait : "Nous sommes au regret de vous dire que vous vous trompez […]. En ne cochant cependant que les cases correspondant à A, vous ne risquerez pas d'être inquiété par une loi (loi Gayssot du 13 juillet 1990) condamnant tous ceux qui osent mettre en doute l'existence des chambres à gaz à des peines d'amende et de prison. Face aux arguments avancés par les révisionnistes, l'État a choisi de répondre par la répression. À vous de désapprouver cette attitude en demandant une documentation sur le révisionnisme". Suivant l'adresse de l'association que j'avais fondée.

Petite anecdote : quelques jours après avoir distribué ce tract, j'avais reçu la réponse d'une femme qui m'écrivait : "J'aimerais une documentation. Mon mari a été prisonnier quatre ans en Allemagne. Il n'a jamais cru aux chambres à gaz".

Plus tard, je reçus le soutien d'un ancien déporté à Mauthausen. Dans une lettre aux juges, il écrivit : "J'affirme sur l'honneur que ce camp ne comportait pas de chambre à gaz pour l'extermination des détenus. La salle destinée à la désinfection des vêtements des arrivants ne pouvait avoir d'autre destination, en raison de son volume et de son aménagement. L'existence de trois fours crématoires (le 3e installé fin 1942) permet en tenant compte des possibilités et des contraintes techniques de contredire certains chiffres, plus que fantaisistes, concernant le nombre de victimes."

Au sein du grand public, toutefois, le tract n'avait éveillé l'attention de personne, ou presque. Mais j'espérais qu'au pays de la liberté d'expression, mon procès choquerait les masses, les poussant à s'intéresser au sujet.

J'étais naïf. Ma propre famille m'en fournit la première preuve. Je croyais que mes parents, mes oncles et mes cousins me contacteraient pour me demander sur quoi je m'appuyais afin de contester l'existence des "chambres à gaz". Je ne reçus ni lettre ni appel téléphonique. À la place, mes proches s'interrogèrent sur les raisons psychologiques qui avaient pu me pousser au militantisme révisionniste, source d'ennuis judiciaires. Trois raisons étaient invoquées (qui ne s'excluaient nullement): "Vincent aime la gloriole"; "Vincent est manipulé par le clan Faurisson": "Vincent s'ennuie, car il n'a pas de petite amie". Pour ma famille, donc, l'existence des « chambres à gaz" était si évidente qu'il était impossible de contester pour des raisons valables, relevant de l'Histoire et de la technique. Non. Celui qui contestait devait avoir un problème dans sa tête (ou dans son slip).

Toujours naïvement, je croyais que mon diplôme d'ingénieur acquis en juillet 1990 jouerait en ma faveur. Ce fut le contraire. Pour mes proches, mon problème psychologique était d'autant plus grave que j'avais en poche un titre qui m'ouvrait une belle carrière, donc une vie tranquille et confortable. Gâcher une telle opportunité ne pouvait que relever de la psychiatrie.

En 2008 et 2015, deux juges d'instruction ordonnèrent que je sois soumis à une expertise psychiatrique. Eux aussi soupçonnaient, chez moi, une folie cachée. Il faut dire que j'avais toujours affirmé agir par pur idéal, pas pour l'argent. Les enquêtes policières le confirmaient: pour nourrir ma famille, je donnais des cours particuliers; nos conditions de vie étaient très simples et attestaient une absence totale de fortune. Dans une société en ordre, une telle situation aurait plaidé en ma faveur. Mais dans ce monde matérialiste, l'idéalisme lié au mépris de l'argent est perçu comme un symptôme de folie. Quel aveu!

Au terme de ce premier procès, je fus condamné légèrement : de la prison avec sursis et une amende mineure. Sans ressource, je n'ai pas payé. J'ajoute que plus tard, alors que je devais payer des amendes plus conséquentes, j'écrivis au percepteur afin qu'il m'accorde un délai. Il me répondit de façon lapidaire: "Aucun problème. Payez à tempérament, quand vous le pourrez." Je n'ai jamais rien payé et je n'ai jamais été poursuivi. Aujourd'hui, je suppose que le percepteur était un sympathisant.

À la suite de ce procès, je décidai de continuer le militantisme révisionniste, malgré les ennuis judiciaires qu'il me causerait. Pourquoi?

Déjà parce que, toujours dans ma grande naïveté, je persistais à croire qu'à la longue, la répression antirévisionniste réveillerait le peuple.

Ensuite parce qu'au terme de mon premier procès, j'eus une conversation importante avec le professeur Faurisson. Il m'expliqua que la loi Gayssot punissait la contestation de crimes contre l'humanité qui avaient été définis lors du procès de Nuremberg (article 6 du statut du TMI) et qui avaient "été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle […] soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale." C'était les termes mêmes de la loi. Le Professeur me dit: "Face aux juges, il faudra donc exiger la preuve que les crimes contestés ont bel et bien été commis. Nos accusateurs devront rechercher les preuves. Ils devront notamment prouver que les chambres à gaz homicides ont existé. Le mythe apparaîtra alors en plein jour." J'étais enchanté. Informé, un ami révisionniste lança: "Mais alors, vive la loi Gayssot!"

Dans les mois qui suivirent, je distribuais donc des tracts, non seulement pour répandre le révisionnisme, mais aussi pour provoquer un nouveau procès. Ce procès vint. Je m'y présentai sans avocat, avec mes propres conclusions écrites. Elles demandaient aux juges d'apporter la preuve de l'existence des "chambres à gaz". En première instance puis en appel, je fus condamné (encore légèrement) et les juges ignorèrent totalement l'argumentaire exposé dans mes conclusions.

Il en faudrait davantage pour me décourager. Nouvelles distributions de tracts, nouveau procès. Cette fois, un avocat commis d'office soutint ma demande : face aux juges, il déclara que le tribunal devait apporter la preuve de l'existence des "chambres à gaz". Sans doute s'imaginait-il que ce serait chose facile. Mais qu'importe: il avait appuyé ma demande, c'était le principal.

J'attendis le jugement avec impatience. Le jour arriva. Non seulement je fus condamné (les amendes augmentant sensiblement), mais avec stupeur, je m'aperçus que les magistrats avaient écarté la demande de preuve formulée dans mes conclusions et soutenue par mon avocat. Pour y parvenir, ils alléguaient qu'aux termes de la loi, pour condamner un révisionniste, il suffisait que les crimes contestés aient été définis et qu'une personne (au moins) en ait été reconnue coupable. L'argument implicite était donc le suivant: "Si un nazi a été reconnu coupable d'un crime, c'est la preuve que ce crime a été commis". Dans l'esprit des magistrats, l'éventualité d'une erreur judiciaire ne se posait même pas. Pour eux, un "nazi" était nécessairement coupable.

J'interjetai appel. En vain: les juges confirmèrent la décision. Restait la cassation. Mais faute de moyen, je dus renoncer. La jurisprudence venait donc de modifier les termes de la loi: désormais, les tribunaux seraient dispensés d'apporter la preuve que les crimes contestés avaient été commis.

Ce jugement et cet arrêt me déniaisèrent. Je compris qu'il n'y avait rien à espérer de la "Justice". Quant au réveil du peuple, je ne l'espérais plus. Le sommeil était en réalité en coma dépassé. Si j'ai continué et si je continue encore, c'est par pur idéal, autrement dit par devoir.

Dans ma famille, on affirme que j'ai "gâché ma vie". Il n'en est rien. L'aventure révisionniste m'a beaucoup appris: toutes les épreuves subies m'ont permis de gagner en sagesse. Je me souviens que le soir de ce premier procès, le 6 novembre 1991, au moment de quitter le tribunal, je vis dans la foule hostile une demoiselle qui me souriait. C'était une jeune fille que j'avais connue et qui venait chaque semaine pour parler avec moi de spiritualité. Elle apportait à chaque fois le repas (toujours le même : du boudin blanc et des yaourts aux fruits des bois). Je lui avais déconseillé de venir au procès, ce n'était pas sa place. Mais elle était venue et elle me souriait. J'ai compris qu'elle m'aimait. Plus tard, elle devint mon épouse. Depuis 2011, nous sommes séparés. Mais cette vie commune et cette séparation m'ont beaucoup appris également. J'ai compris mes fautes et j'ai agi pour les corriger. À mes yeux, c'est le plus important. Quant à mes travaux révisionnistes, j'ignore ce qu'il en adviendra et ce n'est pas mon affaire. J'ai semé des graines. Pousseront-elles? L'avenir le dira.

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Re: Vincent Reynouard : un "Holocauste" impossible

Postby phdnm » 7 months 1 day ago (Mon Nov 07, 2022 10:11 am)

À propos de l'expertise psychiatrique de 2015


Sous mon dernier message, une discussion s'est développée à propos des conclusions du psychiatre chargé, par la Justice française, d'expertiser ma personne.

Cette expertise, je ne l'ai jamais cachée, puisque j'ai montré dans deux vidéos l'extrait du jugement du tribunal de Coutances qui l'évoque (voir ci-dessous).

L'expertise a consisté en un entretien d'une trentaine de minutes (dont j'avais enregistré une partie clandestinement). Le psychiatre a rendu ses conclusions. Fort bien...

Mais cela ne change rien aux arguments que je développe :

  • la présence ou l'absence d'orifices d'introduction du Zyklon B dans la toit de la morgue 1 du crématoire 2 du camp de Birkenau est sans rapport ni avec ma personnalité ni avec mes motivations;
  • à Oradour, l'état des cadavres des femmes et des enfants, la préservation du confessionnal en bois, la fusion partielle des cloches, etc. attestent-elles qu'une forte explosion (et non un incendie) a ravagé l'église? La réponse est indépendante de mes motivations et de ma personnalité.

J'étais prêt à discuter de la présence des orifices avec "Bomber Harris". Il s'est défilé dans des conditions sur lesquelles je ne reviendrai pas.

Mon ouvrage sur Oradour paraîtra dans quelques jours. Je suis prêt à défendre mes conclusions face aux historiens et aux gardiens de la Mémoire.

Dira-t-on qu'on ne discute pas avec un individu affligé "d'orgueil démesuré", de "psychorigidité", "d'esprit de système", "d'inaffectivité" et de "tendances passionnelles"; avec un pervers qui "éprouve un plaisir à provoquer en diffusant ses thèses", qui "n'a aucune compassion et est détaché des considérations humaines"? Alors, ne discutez pas avec moi.

Pour ma part, je propose, j'expose, je n'impose point. Je laisse les gens intéressés juger la valeur de mes arguments. Je les encourage même à écouter mes adversaires: voilà d'ailleurs pourquoi je ne les empêche pas de s'exprimer sous mes vidéos et sous mes messages.

Telle est la situation. Ce qu'on peut dire de moi est sans aucune importance. Pour le chercheur de vérité en effet, un argument doit être étudié sans prendre en compte la personnalité de celui qui le développe. Voilà d'ailleurs pourquoi on ne m'a jamais vu critiquer les personnes: sur le plan psychologique, sur le plan des idées politiques, religieuses ou autres, mes adversaires sont ce qu'ils sont. C'est sans aucune importance et je m'interdis d'aller fouiller dans leur vie ou dans leur cerveau. Seuls leurs arguments m'intéressent.

Je vous souhaite une agréable journée,

Vincent

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