Pourquoi la coulée de boue catastrophique survenue à Babi Yar en 1961 n'a-t-elle pas mis au jour des millions d'ossements de victimes de l'"holocauste" nazi ?
30 avril 2022
Les historiens officiels de la Seconde Guerre mondiale s'accordent à dire que près de 100 000 victimes de la "terreur nazie" ont été enterrées dans le ravin de Babi Yar à Kiev. Pourtant, on nous dit que les restes sacrés de ces victimes n'ont pas été dérangés par "respect" pour les membres survivants des familles et pour les "lois" juives en matière d'enterrement.
Ceux qui ont remis en question le récit officiel de Babi Yar ont demandé une enquête médico-légale indépendante sur le site - afin de fonder l'histoire officielle sur des bases factuelles solides - mais les dirigeants juifs s'y sont opposés - alimentant ainsi les doutes persistants quant à la possibilité de déterrer des preuves solides à Babi Yar, ce qui mettrait fin aux doutes une fois pour toutes.
Mais l'un des aspects les plus troublants de cette controverse est qu'une inondation massive s'est produite à Babi Yar en 1961 - qui a déplacé des millions de tonnes de terre et de débris du site. Sachant que le corps humain compte 206 os, chacune des 100 000 victimes enterrées à Babi Yar aurait déterré plus de 20 millions d'os, transformant les environs immédiats en une véritable cour à os.
Les preuves de cette "atrocité nazie" auraient dû être accablantes et inévitables lors du nettoyage qui a suivi - pourtant, la presse soviétique a lourdement censuré toute mention de cette catastrophe, et une occasion en or de discréditer davantage le "régime nazi" et de prouver une fois pour toutes les preuves physiques de l'Holocauste par balles™ à Babi Yar.
Il est clair que l'histoire de cette inondation a été censurée parce qu'elle prouvait de manière incontestable que la version officielle des événements à Babi Yar n'est tout simplement pas soutenue par les preuves sur le site, révélées aux yeux du monde entier à la suite de cette inondation massive.
Radio Free Europe écrit :
"Babyn Yar a été le site de l'un des pires massacres nazis. Environ 34 000 Juifs ont été tués dans le ravin de la capitale ukrainienne, Kiev, les 29 et 30 septembre 1941, peu après l'occupation de la ville par les nazis. Au cours des mois suivants, ils ont tué environ 100 000 personnes sur le site, dont des prisonniers de guerre soviétiques, des communistes, des nationalistes ukrainiens et des Roms.
Aujourd'hui, Babyn Yar est l'un des terribles symboles de l'Holocauste. Mais après la Seconde Guerre mondiale, les autorités soviétiques ont préféré enterrer le site sous une décharge. Plus tard, le site du massacre a été rempli de déchets liquides provenant des usines de briques voisines. Le plan était de drainer les déchets et de faire en sorte que la boue et la pulpe restantes remplissent le ravin.
Mais dans la soirée du 12 mars 1961, au milieu de fortes pluies, la station de pompage du barrage est tombée en panne. Et à 8 h 30 le lendemain, les 4 millions de mètres cubes de boue qui avaient été déversés dans Babyn Yar pendant plus de 10 ans ont traversé la petite digue en terre du site et ont inondé le quartier de Kurenivka, situé à basse altitude dans la ville.
La digue, haute de 4 mètres et large de 20 mètres, s'est effondrée, et la boue liquide qu'elle avait retenue pendant toutes ces années s'est déchaînée, détruisant tout sur son passage.
Olha Bikus, un témoin oculaire, a déclaré avoir vu des maisons et des arbres entiers emportés par le tsunami de boue, qui ne s'est arrêté qu'à 10 heures du matin. Le mur de boue a complètement détruit 68 immeubles résidentiels et 13 immeubles de bureaux. En quelques minutes, près de 1 300 personnes se sont retrouvées sans abri.
L'un des sites les plus touchés a été le dépôt de tramways de Krasin (ci-dessus et ci-dessous), où 50 ouvriers ont été enterrés vivants. Les personnes prises dans les inondations avaient peu de chances de survivre, à moins qu'elles n'aient eu la chance de grimper aux arbres ou aux toits.
Les militaires ont été appelés à participer aux opérations de sauvetage et à nettoyer la boue et les débris. Les excavateurs ont déterré à plusieurs reprises les parties du corps des victimes. "C'était effrayant ! Certains conducteurs de pelleteuses ne pouvaient même pas travailler et ont quitté leur poste", a déclaré un témoin oculaire.
Les transports publics du district de Kurenivka ont également été touchés par la coulée de boue. Dans un tramway, 12 passagers ont été enterrés vivants. Ailleurs, un bus a pris feu après avoir été touché par la chute d'un poteau électrique et la plupart des personnes à l'intérieur ont été tuées.
Les autorités soviétiques ont strictement censuré toute mention de la catastrophe. Après la rupture du barrage, les troupes soviétiques ont immédiatement encerclé le périmètre de l'inondation et n'ont laissé entrer personne. Les communications interurbaines à Kiev sont coupées.
Les habitants de Kiev sont scandalisés par la suppression des informations sur la catastrophe. Certains qualifient l'inondation de "vengeance des fusillés" de Babyn Yar, tandis que d'autres la qualifient de "punition de Dieu" pour la fermeture du monastère Pechersk Lavra de Kiev.
Le KGB confisque les photos et les films de l'incident. La nouvelle de la tragédie n'a été diffusée à la radio de Kiev que trois jours plus tard, et elle n'a jamais été annoncée en dehors de la ville.
Les victimes de la coulée de boue ont été enterrées dans des cimetières autour de Kiev avec des dates de décès différentes et les causes officielles de décès ont changé.
En 1962, le ravin de Babyn Yar a été nivelé et transformé en parc. Un mémorial officiel aux citoyens soviétiques abattus à Babyn Yar a été érigé en 1976, mais ce n'est qu'après l'effondrement de l'Union soviétique qu'un mémorial a été construit pour les victimes juives.
Selon les chiffres officiels soviétiques, 145 personnes ont été tuées dans la catastrophe. Mais après la suppression des nouvelles de la tragédie, les habitants de Kiev ne se sont pas fiés aux déclarations officielles. Selon un historien moderne de Kiev, Oleksandr Anisimov, la coulée de boue de Kurenivka de 1961 a coûté la vie à 1 500 personnes.
Mais une autre historienne, Tetyana Yestafyeva , qui a été l'une des premières à travailler avec des documents d'archives sur cette tragédie, estime que ce chiffre est exagéré. "Je crois les données officielles que j'ai trouvées dans les documents classés "top secret". Ils ont été envoyés aux plus hauts bureaux de Kiev et de Moscou. Cela n'a aucun sens que les chefs de parti se mentent à eux-mêmes", dit Yestafyeva. "Par conséquent, je pense que 145 personnes ont été victimes de la tragédie de Kurenivka et que beaucoup d'autres ont été blessées."
Quelques ossements aléatoires exposés par l'inondation
Six mois après la tragédie, le tribunal régional de Kiev a condamné six personnes pour leur rôle dans l'effondrement du barrage : deux ingénieurs de Moscou et quatre chefs du département de construction de Kiev. Les pièces du dossier ont été détruites par la suite.
http://frontnationalsuisse.hautetfort.c ... n-a-t.html
https://christiansfortruth.com/why-didn ... t-victims/
